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jeudi 2 décembre 2010

Jerzy's NFL Overtime - Week 12





























Road to the playoffs : Chiefs @ Seahawks

Nouvelle Item cette semaine puisque je ne me voyait pas regarder le match des 49ers contre les Cardinals alors qu’il y avait des confrontations directes entre prétendants aux playoffs partout ailleurs dans la ligue. Alors il y a les matches que tout le monde a regardé comme Chargers @ Colts ou Eagles @ Bears. Pour cette première j’ai décidé de mettre un peu le projecteur sur le match des Chiefs à Seattle. 

Un match qui peut avoir son importance pour chacune des équipes pour jouer plus d’un match en janvier. Les Chiefs réalisent une bonne saison mais doivent gagner tout ce qu’ils peuvent pour résister à un retour des Chargers. Les Seahawks, eux, ont les Rams comme principal adversaire dans la division, ça donne une bonne idée du niveau de cette NFC Waste.

Les Chiefs ont l’équipe la plus productive au sol dans la ligue, bien articulés autour du duo Jones/Charles. Ils possèdent en Matt Cassel un QB parfois branché sur courant alternatif, capable du pire et du meilleur. Selon de nombreux spécialistes c’est le niveau de Matt Cassel qui va déterminer la présence ou non des Chiefs en playoffs. Depuis quelques matches, c’est dans les airs que Seattle fait mal à ses adversaires. L’absence de Mike Williams qui retrouve un niveau intéressant est assez préjudiciable. Matt Hasselbeck joue toujours blessé à sa main gauche. Ca n’a pas semblé le gêner contre les Saints la semaine passée. Pour soulager la protection sur Hasselbeck, Seattle comptera une fois de plus sur Marshawn Lynch pour qui chaque semaine se ressemble dans la médiocrité. 

En tout cas je m’attends à un match sympathique entre deux équipes dont les défenses n’ont jamais brillé plus que ça cette saison. 

Les Chiefs ont l’honneur d’entamer le match en attaque et à la surprise générale, ils s'appuient sur la passe pour avancer. 7 plays, 5 passes, 2 courses (pour 8 yards) et Cassel démarre le fil rouge de la soirée : passe de TD pour Bowe. Un drive remarquablement mené et assez impressionnant dans l’exécution. Les Chiefs n’ont pas eu besoin de leur jeu de course. Matt Cassel est précis et se retrouve en tête après quelques minutes de jeu. 

Les Chiefs sont revenus par la suite à un jeu qui leur est plus traditionnel en s’appuyant sur leurs coureurs. Seattle est une équipe qui joue beaucoup ses drives sur des gambling. Lynch est assez défaillant (voire un ancien OT, le match contre les Cardinals) et n’a même plus l’honneur de tenter les 4th&short. Seattle tente à la passe et ça ne passe pas et laisse les Chiefs en position intéressante sur le terrain. 

Bon clairement le match aurait pu être plié en fin de premier quart-temps. Une équipe de Seattle apathique, inefficace en attaque et en défense, parvenant à peu-près à contenir Thomas Jones (20 courses, 68 yards) mais pas Jamaal Charles (22 course, 173 yards pour un gain moyen de 7,9). Aussi Seattle s’est souvenu qu’ils ont un jour battu les cousins des Chargers grâce à leurs équipes spéciales. Sur deux plays consécutifs la Special Team bloque un Field-Goal puis un punt qu’ils retournent pour un TD. Et alors qu’il pourrait y avoir 10-0 pour les Chiefs avec la balle dans le fond de la partie de terrain des Seahawks, il y a 7-7 à la fin du premier quart-temps. A ce moment, les Chiefs ont joué deux fois plus de plays que leurs adversaires. 

Le 2eme quart-temps a été le theâtre d’une démolition comme il faut d’une équipe des Seahawks pour qui son exceptionnel public n’a rien pu faire. Le bruit n’a pas semblé perturber les Chiefs plus que ça. Des Chiefs bien disciplinés et concédant peu de pertes de terrain par pénalité. Un drive de 15 plays pour la moitié du 2eme quart-temps, des conversions systématiques des 3rd down et on se retrouve avec Smith, DE de son état en position de fullback et qui entre en force dans la End-Zone balle en main au prix d’un très beau second effort ou ses jambes n’ont jamais cessé de tourner. 

Je n’ai même pas envie de dire que les Chiefs ont bien défendu parce que je pense que ce n’est pas tellement le cas. Seattle ne parvient pas à reproduire le match qui les avait conduits à marquer des points lors de 5 drives différents contre les Saints. Et Hasselbeck commence à lancer des interceptions. Seattle s’oublie en défense et peu avant la pause, Matt Cassel trouve un Bowe absolument seul dans la secondary pour un TD de 36 yards, tranquille, juste comme ça. 

Seul un Field-Goal consécutif à un fumble de Jamaal Charles (le seul point négatif de son match) permet à Seattle d’avoir encore des illusions à la pause. 21-10 et du boulot pour Pete Caroll dans les vestiaires

La clé de ce match pour Seattle était d’aller chatouiller la secondary des Chiefs. Deux fois ils ont joué comme ça et deux fois Obomanu s’est retrouvé avec de gros gains en réception dont un en fin de match pour un TD de 87 yards. C’est également Obomanu qui réceptionne une passe profonde en tout début de 3eme quart-temps pour donner une position excellente à son attaque sur le terrain et qui permettra à Hasselbeck de conclure sur Chris Baker plein axe. C’est comme ça que Seattle avait détruit les Cardinals et inquiété les Saints et ce genre de play a été bien trop rare contre les Chiefs pour permettre d’espérer quoi que ce soit du côté de la Colombie Britannique. [Editor's Note : Ah, voilà, on comprend mieux le niveau des Seahawks, c'est une équipe de Canadian Football League... Seattle est dans l'état de Washington, et, effectivement, de l'autre côté de la frontière, c'est la Colombie Britannique...]

Alors certes ça aurait pu suffire avec une grosse défense. Mais Seattle n’a pas une grosse défense. Ce sont des exploits qui ont permis à Seattle de rester si longtemps dans le matches (Obomanu, les special team en début de match ...) mais en dehors de ça Seattle est apparu vraiment très pauvre dans quasiment tous les secteurs de jeu. Et dire que cette équipe est leader de sa division ... 

Lorsque Seattle a recollé à 21-17, les Chiefs n’ont pas paniqué. Ils étaient dans un temps assez faible en attaque. Productif mais pas suffisamment pour inscrire des points au tableau d’affichage. Alors ils ont resserré la défense, laissé l’orage passer. Ils se sont recentrés vers leur gros jeu de course jusqu’à ce que ça fonctionne. Et sur le play à cheval entre les deux derniers quart-temps, ça a fonctionné. Jamaal Charles inscrivant un nouveau TD à mettre bien au chaud dans sa belle ligne de stat. 

Le 4eme quart est à sens unique. Kansas a continué d’appeler le play qui a le mieux fonctionné lors de ce match : passe de TD de Cassel vers Bowe. Cassel a fait participer également Moeaki à l’orgie offensive. Et Seattle a simplement renoncé en posant le genou à la fin du match. 42-24, un score sévère mais juste car jamais Seattle n’a pu stopper une équipe des Chiefs qui tourne à bonne carburation en ce moment. Je n’ai pas vraiment trouvé de faiblesse à cette équipe des Chiefs sur ce match. Peut-être les unités de FG et de punt un peu laxistes en début de match. Le reste, impressionnant. Je ne crois pas que ça puisse suffire face aux Chargers. Et ça ne suffira pas non plus pour une wild-card. Mais cette saison pourrait bien être un tournant pour l’avenir de la franchise qui va enfin pouvoir construire sur la durée avec quelque chose qui fonctionne. 

Quant à Seattle malgré les faiblesses patentes montrées sur ce match, ils seront probablement en playoffs et fera le bonheur de l’équipe qui les rencontrera lors du tour de wild-card. 

Packers @ Falcons : 

Un gros match au Georgia Dome. Un parfum de playoffs entre les deux meilleures équipes de la NFC. Ca fait un moment que je répète que Green Bay a une faiblesse : son runnning game. Complètement improductif contre des Falcons dont la défense a la course a depuis longtemps fait ses preuves cette saison. Le meilleur coureur des Packers sur ce match est Aaron Rodgers et à force de porter des ballons, parfois, il commet un fumble. Son premier de la saison, au pire des moment, à quelques encablures de la End-Zone pour un TD qui aurait donné l’avantage aux têtes de gruyère. 

Finalement le match se joue là. Un match très plaisant à regarder avec au final une victoire logique de l’équipe qui n’est en fait que la plus complète des deux. Atlanta peut compter sur un jeu au sol performant et c’est juste ça qui fait la différence sur ce match. 

Le fait est que les Falcons ont longtemps avancé derrière les écrans de fumées érigés par la presse lorsque les Giants réussissaient leur première moitié de saison puis lorsqu’on en est venus à imaginer un Mike Vick comme MVP. On laisse les autres s’enflammer et on avance tranquillement. Voilà quelle était la philosophie de ces Falcons qui maintenant ont les projecteurs braqués sur eux. En battant les Packers après avoir battu les Ravens chez eux, Atlanta montre l’importance que peut avoir l’avantage du terrain en post-saison. Je vais me mouiller, pour une fois, en déclarant que si Atlanta termine en tête de la NFC lors de la saison régulière, ils seront au SuperBowl. Period. (J’autorise quiconque à ressortir cette prophétie en temps voulu). 

Côté Packers j’ai été surpris de continuer à faire autant confiance en Brandon Jackson. J’ai vu la grande majorité des matches de Green Bay et avant c’est juste Aaron Rodgers qui avait l’intégralité du match sur ses épaules ce qui a fini par se sentir (contre les Skins puis les Dolphins). Ce jeu de course délicat suffit peut-être à taper les Boys et les Vikes mais contre une vraie forte opposition, ça ne suffit pas. Et le prophète qui sommeille en moi fait des siennes et déclare que ça sera vraiment difficile pour Green Bay face à Chicago. 

Jaguars @ Giants : 

Un Jacksonville à deux visages, un peu comme d’habitude. Le visage conquérant de l’équipe qui mène 17-6 à la pause et celui qui encaisse un 18-3 en seconde. C’est simple, j’avais l’impression de voir jouer les Rams. 

Jax rate là une belle occasion de profiter des résultats favorables des autres matches des équipes de la division. Si y’a un play clé dans ce match, c’est cette passe lancée un peu trop vers l’arrière de Garrard en début de 3eme quart-temps. Interception et TD sur le drive qui suit histoire de faire rentrer des Giants franchement faibles dans ce match. Eli Manning a délaissé son manuel du Brett Favre illustré pour redevenir un QB fiable ne lançant pas d’interception et ce sans ses deux meilleurs receveurs. 

Je vais rajouter une couche sur le TD victorieux de Boss. Boss, celui qui vers qui était lancé toutes les 3eme tentatives à la passe, l’homme de confiance de Manning sur ce match, l’homme que Jax a laissé absolument seul pour aller faire une cover 2 sur un parfait inconnu et qui permet à NY de prendre l’avantage à deux minutes du terme. Voilà, Manning a lancé vers l’homme en qui il avait le plus confiance et pour moi c’est une faute grave de la part du coordinateur défensif des Jaguars. 

Jax a eu sa chance sur le dernier drive, après tout c’est comme ça qu’ils ont battu Houston et Cleveland mais c’est à cette instant que les Giants se sont souvenus que plus tôt dans la saison, ils avaient un pass rush énorme (ask Stafford, Romo et Cutler). 

Bref tout n’est pas perdu pour les Jags que je vois malgré tout au dessus des Colts pour le moment. 


[Editor's Note : On me prie de te rappeler que tu as manqué ta dernière visite chez l'ophtalmo...]

Chargers @ Colts : 

Les Colts n’aiment pas jouer les Chargers. Manning a un rating degueulasse contre San Diego et ça s’est poursuivi cette semaine. Ce match pouvait être considéré comme un MVP Bowl alternatif mais même pas sûr qu’il ait servi tant que ça à Rivers pour appuyer sa candidature au MVP de la saison. San Diego n’a pas franchement eu à s’appuyer sur le talent de son QB pour gagner ce match. 4 interceptions dont deux retournées pour un TD. 

Tout n’a pas été parfait pour San Diego qui a vraiment souffert pour terminer ses drives avec des gros déchets sur les situations de tentative&goal et Rivers qui marchait dans les traces du record de Dan Marino avant ce match est maintenant un peu décroché. 4900 yards prévisionnels pour le moment. 

Les Colts ont vraiment du souci à se faire. Indy ne sait plus attaquer au sol. Addai est blessé et visiblement personne n’est assez consistant pour le suppléer (tiens, une idée pour la prochaine draft ?). Le fait est que les Colts étaient à 4-0 au Lucas Oil Stadium pour un vilain 2-4 on the road. Heureusement pour eux ils en ont encore 4 à jouer chez eux d’ici la fin de saison. Il reste les Cowboys, les Titans (deux fois), les Jags, et Oakland au programme, un calendrier a priori abordable mais là en l’état actuel des choses je vois l’immense upset de l’année avec des Colts incapables de se qualifier en playoffs (ouais, y’a de la provoc)



Power Rankings : 


[Editor's Note : bel effort, jeune homme, bel effort. Nous ne sommes d'accord sur beaucoup de choses, apparemment...]


1 : Atlanta Falcons (9-2). Difficile de départager les Falcons et les Pats. On mettra ça sur le compte de l’adversaire de la semaine, plus difficile pour Atlanta. 

2 : New England Patriots (9-2). Difficile de départager les Falcons et les Pats. On mettra ça sur le compte de l’adversaire de la semaine, plus facile pour New England. 

3 : New York Jets (9-2). Mark Sanchez a complété 57% de ses passes contre Cincy, améliorant ainsi un peu sa moyenne annuelle. Ca mérite bien une 3eme place. 

4 : Baltimore Ravens (8-3). Qu’est ce que ça sera quand le complot arbitral anti-Ravens sera démantelé ?

5 : Chicago Bears (8-3). Peut-être leur seule occasion de les voir si haut dans un Raking alors, profitons en. Anyway, Cutler lance 4 TD et aucune interception, c’est sûrement ça qui explique la neige qui tombe en France depuis dimanche. 

6 : Green Bay Packers (7-4). 7-4 sans avoir de Running Back et encore une défaite de 3 points. Moi aussi je suis amoureux de Aaron Rodgers. 

7 : New Orleans Saints (8-3). Reggie Bush est revenu et a offert un TD aux Cowboys sur un fumble. Les Saints sont toujours un peu skyzo mais pour le moment ça suffit à éviter les défaites qui font tâche contre les Browns ou les Cardinals for instance. 

8 : Pittsburgh Steelers (8-3). L’hiver arrive ce qui signifie qu’on retrouvera les Steelers un peu plus haut dans le classement dans les semaines à venir. Big Up à Steve Johnson pour sa convaincante imitation de Ted Ginn et donnant la victoire aux Steelers. 

9 : San Diego Chargers (6-5). Paraît que Dean Spanos envisage de demander au board le décalage du début de saison en NFL pour le mettre au mois de novembre. 17-0 série en cours pour San Diego pour les matches après octobre. 

10 : Kansas City Chiefs (7-4). Play 1 : Give the ball to Jamaal Charles. Play 2 : Throw the ball to Dwayne Bowe. 

11 : Philadelphie Eagles (7-4). Voilà ce qu’on mérite quand on autorise Jay Cutler à lancer 4 TD contre soi. C’est aussi la place qu’on mérite quand Asante Samuel est blessé. 

12 : New York Giants (7-4). Brandon Jacobs se fait une nouvelle santé, Eli Manning n’a pas lancé d’interception ce week-end, les Giants ont retrouvé ponctuellement leur pass rush, les Giants ont gagné sans Nicks ni Smith. 

13 : Tampa Bay Buccaneers (7-4). Josh Freeman est un QB de 2eme année qui complète environ 60% de ses passes (sans avoir un Santonio Holmes on fire à sa portée). Bizarrement ça, personne n’en parle. 

14 : Jacksonville Jaguars (6-5). Au moins depuis quelques semaines, Jax est toujours dans le match au moment d’entamer le dernier drive du match. 

15 : Indianapolis Colts (6-5). Peyton n’a plus qu’à envoyer des photos de Little Payton à une employée de la sideline pour parfaire un peu plus sa panoplie du Brett Favre en herbe. 


[Editor's Note : tu oublies sans doute que Peyton a été accusé par une physio de sa fac, Tennessee, d'avoir placé son cul nu et son rectum ('naked butt and rectum') sur le visage de la physio. Et ça, personne n'en parle...]


16 : Saint-Louis Rams (5-6). Rien que le fait de voir les Rams en course pour les playoffs après 11 matches justifie ce ranking finalement élevé. By the way, Bradford est un rookie qui a Danny Amendola et Mickael Hoomanawanui (qui a un nom marrant) comme cibles prioritaires et il complète 60,5% de ses passes. 

17 : Miami Dolphins (6-5). Visiblement, avoir un QB sur une jambe suffit pour battre cette équipe de Oakland dont le récent momentum s’est écroulé comme un soufflé mal cuit. 

18 : Houston Texans (5-6). Ca fait bizarre de voir Houston avec une secondary efficace. Sans transitions, paraît que Andre Jonhson serait éligible à un combat de championnat dans l’octogone de l’UFC. 

19 : Seattle Seahawks (5-6). Voilà ce qui arrive quand le seul jeu un tant soit peu efficace de ton playbook est la passe de 40 yards pour Obomanu. 

20 : Tennessee Titans (5-6). Cortland Finnegan aurait été vu sur une plage en train de faire un footing dans le sable avec "Eye of the Tiger" en fond sonore. En dehors de ça je conseille à Bolt d’accepter le défi de CJ 0,002k s’il souhaite dégonfler la pastèque qui lui sert de tête. 

21 : Oakland Raiders (5-6). La hype Oakland retombe petit à petit et l’équipe de la baie peut tranquillement faire ce qu’elle a fait de mieux l’an passé : jouer n’importe comment. 

22 : Washington Redskins (5-6). On en est ou avec cette histoire de JaCircus qui vient faire des essais pour soulager le coeur déficient de McNabb ?

23 : Cleveland Browns (4-7). Oui, on peut gagner un match avec Jack Delhomme comme QB starter. Bisous à Peyton Hillis. 

24 : Minnessota Vikings (4-7). Contraindre Favre à donner exclusivement (ou presque) la balle au meilleur joueur de l’équipe (AP) pour le forcer à ne pas lancer d’interception, ça tient du génie malsain. 

25 : San Francisco 49ers (4-7). En fin de compte ils ne sont qu’à une victoire de la tête de la division. En position idéale pour voler la NFC Waste. 

26 : Dallas Cowboys (3-8). Dallas va mieux au point d’accrocher le champion en titre un soir de Thanksgiving. 

27 : Buffalo Bills (2-9). Allez presque 3 victoires de suite. Les Bills risquent fort de laisser le 1er choix de draft aux Panthers. 

28 : Denver Broncos (3-8). Petit record pour l’équipe dont le QB mène la NFL au yards gagnés à la passe. 

29 : Detroit Lions (2-9). A l’heure actuelle il faudrait au moins 6 Ndamukong Suh dans l’équipe pour espérer quoi que ce soit. 

30 : Arizona Cardinals (3-8). Juste two words : Derek Anderson. 

31 : Cincinnati Bengals (2-9). Finalement, TO n’est qu’un receveur moyen. 

32 : Caroline Panthers (1-10). Encore 5 matches à souffrir pour pouvoir choper Ryan Malett à la draft.





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