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mardi 16 octobre 2012

Verchain's Takes - Week Six



VERCHAIN'S TAKES : WEEK SIX

Bon, ben, voilà... C'est un foutoir sans nom que cette NFL. On ne peut avoir aucune certitude. Pour ma part, j'en ai une : The Pack Is Back !

Vous retrouverez vos Takes habituels, avec tout un tas de couenneries à la Verchain dedans. Sans plus attendre, voici les Takes de la semaine 6, présentés par le Verchain's Crush de la semaine : Ariadne Artiles :




SCORES



STATS



STANDINGS




VERCHAIN’S TAKES
First Down  : After One Third Of The Season, It’s Still A Mess
A Mess.
Aujourd’hui, pouvez-vous affirmer qu’une équipe est en route pour les playoffs et pour un long passage dans ces playoffs, voir pour le titre ? L’an passé, à la même époque, on voyait les Packers énormissimes favoris et les Patriots de l’autre côté comme une équipe inarrêtable, qui allait forcément croiser la route de Baltimore qui semblait toujours solide… Cette année ???
Not so fast, my friend !
Si on jette un œil aux classements, on a de quoi s’affoler…
Les Falcons sont la seule équipe invaincue à ce jour, mais a eu besoin de trois petits miracles pour disposer d’Oakland, Washington et Denver. Vous y croyez vraiment, vous, aux Falcons ?
Les Texans viennent de prendre leur première défaite de la saison, et de quelle façon… Tout ce qui nous pousse à nous dire que, finalement, ils ne sont pas si invincibles que ça, les hommes de Gary Kubiak… Certes, ils devraient remporter facilement leur division qui est peuplée par la médiocrité, les quarterbacks rookies ou sophomores qui ne sont pas au mieux en ce moment… Mais après ? Sont-ils capables de ne pas fondre les plombs contre une vraie adversité ?
Les Ravens ont de l’avance dans l’AFC North, mais que sera leur devenir sans (je ne croyais jamais écrire ça) Ladarius Webb qui est leur meilleur corner ? Et sans Ray Lewis ?
Et ailleurs ? Rien, ou presque.
L’AFC East est un merdier sans nom avec quatre équipes à 3-3. Oui, les Patriots sont au niveau des Bills, des Jets et des Dolphins…
La NFC North ? Si Detroit a un peu de retard, ils ont montré des signes de vie, nous rappelant un peu l’équipe de l’an passé à Philadelphie. Green Bay nous a enfin fait du Green Bay. Minnesota n’est plus un vaisseau insubmersible. Et Chicago n’a pas battu grand monde, ayant perdu son plus gros test jusqu’à maintenant face aux Packers.
L’AFC West ? C’est comme tous les ans, tout le monde sauf les Chiefs peut espérer.
La NFC West ? Il y a une égalité à trois équipes au sommet entre Niners, Cardinals et Hawks. St Louis, à 3-3, n’est qu’à un match derrière.
La NFC East ? Elle change de leaders toutes les semaines… Cette semaine, ce sont les Giants qui apparaissent comme la plus belle équipe de la NFC, grâce à une victoire convaincante chez un prétendant putatif…
Bien sur, on ne vit pas sur de la logique, dans le football, et tirer des conclusions sur la foi d’un match peut parfois vous amener à raconter n’importe quoi. Même sur la foi de 6 matchs, on peut raconter n’importe quoi… Donc… On peut toujours se dire que tout finira bien par rentrer dans l’ordre, qu’on retrouvera prochainement les équipes qu’on attendait en playoffs : New England, Houston et Baltimore dans l’AFC, San Francisco, Green Bay et Atlanta en NFC. Ou pas.
C’est ce qu’on appelle la ‘parity’ en NFL. Et c’est ce qui fait qu’on l’adore, ce sport…


Second Down : And The Browns Won A Game
A l’age de 28 ans, Brandon Weeden était incapable de gagner un match. Dimanche, il a eu 29 ans. Et tout a changé. Première victoire de la saison pour les Browns, qui mettent ainsi un terme à la fois à leur série de 11 matchs de suite sans victoire (en remontant à la saison passée, donc) et à leur poursuite effrénée du record des Lions de la saison sans victoire.
Un peu de Brandon Weeden pour cette victoire, donc, qui trouve l’endzone par deux fois, sur 231 yards, 17/29. Et l’interception traditionnelle, bien entendu. Pas de quoi écrire à ses parents, donc.
Mais c’était juste le bon moment, en somme. Parce que ces Bengals sont d’une tristesse absolue également. Une fois Trent Richardson abattu, Cincy a remis Montario Hardesty dans le sens de la course, et a empilé les conneries en attaque et en défense. Et, mine de rien, notre ami Greg Little va sans doute un jour se retrouver sur le banc si le jeune Gibson continue à être une cible solide pour Papy Brandon.
En défense, les Browns ne sont pas tout à fait pareils avec Joe Haden. De retour de suspension, l’ancienne vedette de Florida n’a pas tardé à faire parler de lui, par sa qualité de couverture comme pour sa propension à sauter sur les lignes de passe, en enregistrant une première interception pour son retour sur le terrain.


Cleveland demeure un vrai prétendant au first overall pick, cela dit, mais une victoire, ça vous transforme la Factory of Sadness en Happiest Place in Freakin’ Ohio...


Third Down : God Is Among Us.
Mécréants  ! Repentez-vous. Pliez le genou  ! Redevenez les fidèles que vous n’auriez jamais du cesser d’être. Parce que oui, Nom d’Aaron, Dieu est de retour, et il est parmi nous. Et il a lancé SIX touchdowns ce dimanche. SIX TOUCHDOWNS. Contre une défense réputée être la meilleure de la Ligue, au pass rush de feu, à la secondary inviolable, tout ça, avec les schémas de Wade Phillips… Bah, ils trouveront bien l’excuse de l’absence de Brian Cushing (merci aux Jets…) pour expliquer la démolition totale, le retour de Dieu sur Terre auquel nous avons pu assister en direct sur NBC, ESPN America, tout ça  !
Aaron Freakin’ Rodgers : 24/37, 338 yards, 6 TD.


À croire que les Packers ne redeviennent les Packers que quand ils sont dos au mur. Et là, ils l’étaient. Les voici revenus à 3-3, et tout à fait dans la course à la NFC North, de nouveau. Surtout que dans un monde de justice, ils seraient à 4-2. Non mais.
Parce que la défense, aussi, était revenue à de meilleures dispositions, frustrant Matt Schaub et compagnie, limitant Arian Foster… Je n’ai jamais été aussi heureux de me planter dans les pronos, tiens, et de voir la véritable démonstration offensive de ce que sont réellement les Packers, une chose qu’ils semblaient avoir oublié depuis 4 semaines (depuis la victoire contre les Bears, tiens). Des routes de passe dans tous les sens, un danger permanent sur la défense adverse qui ne sait jamais très bien à quel endroit va tomber la foudre… Game of the Year, NFL Edition, So Far…


Fourth Down : Random Takes.
  • Dans l’océan de médiocrité du fameux Bills at Cardinals, Larry Fitzgerald est devenu le deuxième receveur de l’histoire à réceptionner plus de 10  000 yards avant d’avoir atteint l’âge de trente ans. L’autre, c’est Randy Moss.
  • Chan Gailey n’a pas l’air d’avoir encore toutes ses facultés mentales, pour appeler un jeu depuis la wildcat sur les 34 yards des Cards alors que son équipe menait de trois points. Interception pour Brad Smith, bien sur, et les Cards égalisent sur le drive qui s’ensuit… Tsss…
  • Que les spécialistes de la défense m’expliquent ce qui arrive à l’unité défensive des Ravens, s’il vous plaît. Parce que là… Encaisser 227 yards au sol, ça ne leur est jamais arrivé, dites moi… C’est surtout l’enchaînement qui surprend, une semaine après avoir concédé également tout un paquet de yards à Kansas City dans le même style…
  • Shonn Greene a du contenter un paquet de joueurs de fantasy machin. Ou les frustrer terriblement. Ceux qui l’ont coupé, en fait. Pour la première fois depuis la première semaine, Greene reprend le chemin de la production, contribuant ainsi à limiter pour les Jets le Sancheisse factor, qui consiste à avoir un taux de complétion ridicule et à lancer des interceptions à tour de bras dans les moments critiques.
  • Take that, American media. On m’a rebattu les oreilles des performances d’Alex Smith, le QB des Niners, depuis le début de la saison. Je m’évertue chaque semaine à démolir méthodiquement le truc, et là, monsieur Smith fait le boulot pour moi. Que ce soit clair une bonne fois pour toutes : San Francisco est une équipe bâtie pour mener au score, courir avec le ballon et ainsi permettre d’ouvrir des opportunités pour la passe quand la défense adverse dédie 8 types à contenir Gore et compagnie. Quand tu tombes derrière avec cet effectif là, on a le genre de catastrophe que nous avons pu admirer dimanche, live ou pas from Candlestick Park. 3 interceptions, incapacité à créer quelque chose, la totale. Alex Smith, c’est Trent Dilfer sans Superbowl ring. Period.
  • Et, tiens, autant saluer les Giants tant qu’on y est, qui ont prouvé pour le coup que leur victoire en finale de la NFC l’an passé contre ces mêmes Niners dans ce même Candlestick Park était tout sauf un accident de parcours pour les types d’Harbaugh West (notamment lié à l’absence de Ted Ginn… Si Ted Ginn faisait gagner des matchs, ça se saurait, aussi…).
  • Je ne parlerai pas des Patriots, Casa le fera mieux que moi, mais l’écroulement total de deuxième partie de match me laisse des gros doutes quant à leur statut de favori de l’AFC.
  • Josh Freeman, version 2010, est réapparu sur le terrain ce dimanche. Nous change du difficile début de saison, mais c’est surtout un produit de la défense des Chiefs, à mon avis.
  • D’ailleurs, fans des Chiefs, préparez-vous à voir arriver Ricky Stanzi, car Brady Quinn n’a rien fait pour nous démontrer qu’il méritait moins que Matt Cassel d’être hué par Arrowhead à l’occasion d’un prochain match… Quinn dimanche : 2 interceptions, moins de 200 yards, ça faisait peine à voir…
  • C’est la semaine des grands retours, dites donc : Calvin Johnson a un peu secoué la poussière du Madden Curse de son jeu. Optimus Prime sort un énorme match (enfin, une énorme fin de match) avec 135 yards en réception. Il a toujours beaucoup de mal à trouver l’endzone, cela dit. Et les Lions ont compilé presque autant de yards de pénalité (132 yards, sur 16 pénalités) que Johnson accumulait en réceptions…
  • La rumeur qui court, c’est que Mike Vick sera viré de Philadelphie en fin de saison si les Eagles ne vont pas en playoffs. Même pression sur les épaules d’Andy Reid. Vick, by the way, mène la ligue en pertes de balles, interceptions et fumbles combinés. Amusante idée que de lui filer un ballon à porter nuit et jour au cours de la semaine dernière. Apparemment, ils avaient choisi de divorcer ce dimanche au bout d’une petite semaine de romance. Bon, il faut dire que perdre une vingtaine de yards sur le premier drive de prolongation, c’est pas génial non plus…
  • Les Eagles ne sont pas aidés par un pass rush porté disparu ces dernières semaines. Et par l’imbécillité de certains, dont Fletcher Cox, leur énorme DT rookie, pris par la patrouille en train de tenter de mettre un bon vieux bourre-pif à un adversaire.
RUNNING ITEMS
Quick rookie QBs update
Robert Griffin poursuit son chemin sur la route de la gloire Newtonienne (non, je ne parle pas de défier les lois de la gravité, je parle du quarterback qui personnifie l’arrivée du football universitaire dans le monde merveilleux de la NFL. Et, oui, je sais bien que j’écris aussi sur le football universitaire, et que j’y prends presque plus de plaisir qu’à écrire sur le foot pro, sans doute parce qu’on a un peu plus de liberté pour choisir de quoi parler sans faire hurler la foule…). RG3, donc, nous sort son deuxième match référence après le match d’ouverture au Superdome de New Orleans. Griffin, qui sortait d’une semaine d’incertitudes quant à sa participation même à cette rencontre, a pris ses Skins sur les épaules, et les a emmenés vers la première victoire à la maison en saison régulière (comme si les Skins disputaient les playoffs, tiens…) depuis que Kate Upton partage la couche de Justin Verlander, ce salaud qui a intérêt de gagner les World Series pour Detroit cette année.
Vintage Griffin, donc. Pistol offense assez souvent, yardage équilibré entre la passe et la course (182 et 138, respectivement), capacité à faire se trouer le plaqueur, et big play occasionnel pour emporter le bouquet. Encore une fois, tant que ça dure, ça va…



Andrew Luck est donc le seul quarterback rookie à avoir perdu ce dimanche. Le seul. Pas aidé par sa défense, qui a laissé les Jets courir tant que faire se peut, et a donc ainsi permis de limiter les pertes de balle de Sanchez (18 passes tentées, monitored like a rookie…). Andrew Luck a quant à lui du forcer son talent, pour essayer de faire quelque chose de cette rencontre partant en torche. Avec les conséquences auxquelles on pouvait logiquement s’attendre. Un taux de complétion Sanchézien de 50 %, des yards mais pas de points, et deux belles interceptions. Better Luck next time…
Ryan Tannehill a droit à son petit spécial comme chaque semaine dans la partie suivante.
Russell Wilson nous a donc gratifié de sa meilleure imitation de Doug Flutie (près de 300 yards et 3 TD). Je fais un mètre douze, mais j’arrive à éviter le pass rush et à balancer la bombe sur la défense adverse. Avec ses deux TD en fin de rencontre qui permettent aux SeaHoax de remporter une victoire inattendue (et avant tout portée une nouvelle fois par la défense, ne nous méprenons pas), Wilson ajoute des petits moments à sa légende, qui ne doivent pas vous faire oublier les difficultés de Seattle, pire équipe de la Ligue dans la red zone, qui ne marquaient quasiment jamais plus de 16 points par rencontre, et qui, tout à coup, se retrouvent à partager la tête de la NFC West avec les Niners. Et les Cardinals…
Brandon Weeden fêtait son anniversaire, et nous avons déjà évoqué la fête ci-dessus.


Amazing Passing Numbers.
Pour espérer battre le record de yards en saison, 5476 yards par Drew Brees l'an passé, il faut lancer une moyenne de 342,25 yards par match. Pour le moment dans le concours, nous trouvons le seul et unique Drew Brees. Qui est donc pour le moment à un rythme supérieur à celui de l’an passé. Avec une tendance à 5504 yards pour le moment. Il est très loin devant Tom Brady et Peyton Manning (seuls autres passeurs à plus de 300 yards de moyenne).

Sack Me I’m Famous.
J’emploie à dessein le concept de ‘pires’ et de ‘meilleures’ lignes offensives uniquement dans une catégorie statistique : les sacks. Parce que la passe est l’avenir du football.
Rappelons à toute fin utile que l’an passé, ce sont les Rams qui ont dominé le bazar avec 55 sacks encaissés, alors que la ligne des Bills n’a laissé passer que 23 sacks sur Fitzy, ce qui ne l’a pas empêché de lancer un paquet d’interceptions…
Les deux pires lignes offensives sont :
Les Cardinals tiennent solidement la tête du concours, une nouvelle fois submergés ce dimanche par des Bills pourtant incapables de coller un sack à un QB de 88 ans et qui leur ont collé 5 sacks, dont deux pour Mario Williams… Avec 28 sacks en 6 matchs, les Cards sont sur le fabuleux rythme de 75 sacks en saison.
Les linemen des Packers vont un peu mieux. God Aaron est tombé deux fois seulement dimanche. Mais après 6 matchs, ils a encaissé 23 sacks soit une projection à 61.
Les deux meilleures lignes offensives sont :
Les Giants, dont beaucoup se sont moqués de la ligne offensive, n’ont encaissé que 5 sacks. Dont aucun à San Francisco. Ceci nous donne une tendance à 13.
Les Texans abandonnent la tête du classement, en doublant sur un match leur précédent total de sacks encaissés (3) pour en arriver à 6. Soit, logiquement, une prévision à 16 sur l’année.


Pitre of the Week : Dez Bryant, WR, Dallas Cowboys
12 réceptions. Le meilleur total de sa carrière. Le TD qui permet aux Cowboys, auparavant proprement dominés par les Ravens d’espérer égaliser et arracher une prolongation voir mieux… Et patatras. Dez Bryant fait du Dez Bryant. Drop sur la passe pour la conversion à deux points. Et contestation digne des meilleurs moments du FC Barcelone en soccer. Gestion du temps calamiteuse des Cowboys après avoir récupéré le 2° onside kick couronné de succès sur les 16 qui avaient été tentés en NFL à ce moment là de la saison, bien accompagnée par un Bryant qui se replace à la vitesse à laquelle on doit apprécier un verre de Dalmore 40 ans, très lentement, trop lentement… Pas de possibilité de tenter un dernier truc pour rapprocher Dan Bailey et donner la victoire à Dallas par un field goal, finalement manqué de pas grand-chose… Pitre  !


A player I liked : John Abraham, DE, Atlanta Falcons
Et ce monsieur n’est donc pas encore en retraite, dites donc… Il sait simplement se rappeler à notre bon souvenir quand il le faut. Et pour une équipe des Falcons qui était au plus mal contre les Raiders (qui ont donc enregistré leurs trois premières interceptions de la saison, courtesy of Matty Melt Ryan), la performance de John Abraham mérite d’être saluée, car elle leur permet d’être toujours invaincue.
Sur la ligne des 40 yards, un sack qui met les Raiders hors de portée d’un field goal de Janikowski. Un autre sack qui permet aux Falcons d’aboutir à un field goal. Et enfin le dernier qui met un terme à un drive d’Oakland. Barely enough.

The Rush To April’s Draft :
Oh how the mighty have fallen in the midst of the battle… Cleveland, notre suprême leader, s’est soudainement écroulé comme un poivrot à plus de quatre grammes. Boum, down they go. Et tout ça dans une semaine où notre autre premier candidat au titre ne pouvait rien faire pour changer son destin, n’ayant pas de match à discuter. Grâce à cette foirade de Cleveland, les Jaguars se retrouvent magnifiquement positionnés en tant que numéro 1. Kansas City fait ce qu’il faut pour suivre le rythme, notamment en positionnant l’immense Brady Quinn comme titulaire cette semaine. Carolina et New Orleans n’ont pas joué, mais bénéficient du faux pas des Titans contre les Steelers qui les repousse (temporairement  ???) hors de la course.
Le classement :
Jacksonville (1-4)
Kansas City (1-5)
Cleveland (1-5)
Carolina Panthers (1-4)
New Orleans Saints (1-4)

Stay tuned.

THE MIAMI DOLPHINS ARE A GREAT REASON TO :
BE HAPPY/BORED/DEPRESSED
OR GO KILL YOURSELF...
Take That, Jeff Fisher  ! Alors, le Mustachio-Coach a décliné l’offre des Dolphins de devenir le coach de la franchise de Floride  ? Malgré tout le barnum  ? Malgré l’arrivée en hélicoptère orchestrée par notre très cher Stephen Ross dans une grandiloquence qui touchait au sublime tellement c’était ridicule, sur le champ et a posteriori. Eh bien, Moustache, ton équipe l’a dans l’os, et n’a pas un meilleur record que les Dolphins au bout de 6 semaines de compétition. Take THAT  !!!
Bien, Miami a gagné, et c’est à peu près tout ce qu’on retiendra de ce match. Pour les autres trucs anecdotiques de cette rencontre, see below…


Player of the Week : Greg Zuerlein, Kicker.
Eh oui, le joueur de la semaine est le kicker… Des Rams… Parce que, mine de rien, c’est grâce à lui que Miami est aujourd’hui en tête de l’AFC East. Et à cause de Dan Carpenter qu’elle est dernière dans l’AFC East. Pauvre kicker rookie. Arrivé sur le terrain à 13/13 sur la saison, une réussite et puis une autre… et puis l’esprit de Dan Carpenter a traversé le terrain pour venir s’incruster dans le crâne du gamin. Comme quoi, c’est parfois utile, de se payer un marabout… Miss, miss, miss. Trois fois de suite. Dont le field goal totalement débile à tenter décidé par Jeff Fisher (tout est de ta faute, Stache-Man) dans les dernières secondes de la rencontre, qui aurait pu permettre aux Rams de revenir au score, ce qui n’aurait jamais du arriver. Des 66 yards. LOL, comme disent les jeunes. Il avait la longueur, mais pas le placement approprié (that’s what she said, en tout cas). Ballgame. Thank you.


Positives :
Je n’ai pas honte de le dire, Lauren, tu as assisté au meilleur match de ton mari chez les pros.

Et ce malgré le niveau de sa ligne offensive, c’est ça qui est le plus encourageant. Une ligne qui a trouvé le moyen de se faire pénaliser 4 fois en trois downs. 4 fois. Vous vous croyez chez les Raiders ou quoi ? En tout cas, Ryan T n’a pas perdu le ballon, pour la deuxième fois de suite, et a même trouvé deux fois l’endzone, une fois vers Marlon Moore (qui, contrairement à la rumeur, n’est pas mort…) et une autre vers Anthony Fasano, le prototype du TE moyen partout et excellent nulle part. 21/29, 185 petits yards, mais deux TD qui nous donnent donc un rating de 112.0… Best of the season, so far. C’est très loin de faire de Ryan T un très bon QB en pros, mais au moins ça m’enlève quelques soucis quant au long terme pour Ryan T. Et c’est déjà beaucoup.


Olivier Vernon. From The U, baby  ! ‘Nuff said  ! (pour les ceusses qui n’ont pas suivi, deux sacks dont le deuxième sur la toute dernière série des Rams, sur third and four, qui repousse St Louis suffisamment loin pour que Legatron doive tenter le record de distance NFL en field goal...

Bravo, Oncle Fétide, on t’a même vu démontrer un peu de vie et d’envie, ça nous change, dis donc… Et t’as même pas appelé de temps mort sur la dernière tentative de Zuerlein  ? Really  ? Mieux que ça, tu as même ressorti le vieux truc qui ne fait plus rêver les filles depuis longtemps du fake punt  ? Bravo  !

T'as vu dans quel état tu es, là Gomez ?
Ce soir, c'est moi qui vais faire sa fête à Morticia...


Trois sur trois, Dan Carpenter  ? Le Marabout, tu peux pas test…

Un peu de classe, enfin, pour les Dolphins qui ont fait officiellement entrer deux magnifiques joueurs dans leur Hall of Fame local :

Jason Taylor

Et son beau-frère Zach Thomas.


Ah, et les uniformes blancs et roses, c’est beaucoup mieux que les verts tous moches, les filles !

Negatives :
Maintenant qu’il sait qu’il va être père de famille prochainement (ben oui, pour bien comprendre les Dolphins, faut suivre les Power Rankings de Verchain, non mais), Reggie Bush ferait bien de se sortir les doigts du fondement, ou il risque de se retrouver sans emploi prochainement, et de ne pouvoir ainsi assurer l’avenir de Reggie Junior et de la maman, qui est donc une Kim K en un peu moins grosse, mais en bien moche quand même… 17 yards en 12 courses  ? WTF  ??? Et que quelqu’un rappelle à Oncle Fétide que Lamar Miller comes from The U, for crying out loud  !


Le petit Joe Philbin attend sa défense à l’accueil du magasin… La défense des Dolphins s’est donc totalement liquéfiée sur le chemin du retour de Cincinnati. Et on essaie maintenant de nous faire croire qu’autoriser 162 yards à 6.0 de moyenne quand on s’annonce comme la défense numéro 1 contre la course dans toute la NFL (fact, au moins jusqu’à dimanche dernier, à 13 heures), que laisser Sam Bradford lancer pour 315 yards, tout ça, en fait, ça ne compte pas  ? Que le seul truc qui compte, c’est que, quand les adversaires sont dans la redzone, on les limite à 3 points  ? Mais bien sur… Disparition, oui… Même si les trois sacks du Fish font du bien, tout de même.


Ah, et je dois dire que j’ai été pris de panique dès le moment où j’ai connu l’identité du referee en chef. L’infâme Gene Steratore. L’homme qui avait validé un TD inexistant de Ben Roethlisberger dans ce même Whatever The Fuck Its Name Will Be The Next Time A Game Will Be Played There Stadium, en 2010, a récidivé en accordant un TD aux Rams sur lequel, eh oui, Sam Bradford n’a pas le contrôle du ballon, permettant ainsi à Fisher and Co de revenir à 3 points au quatrième (du fait de la transformation à deux points subséquente). Ça, plus deux autres fumbles bizarrement non jugés comme tels. Je vais finir par regretter les intérimaires, tiens.


Miami est en bye week la semaine prochaine. Mais qu’est ce que je vais bien foutre de mon dimanche, moi, merde ?

Bah, passe à la maison, Verchain, on prendra un verre...



CASA’S CORNER

Tellement de choses à digérer après cette incompréhensible défaite que j’abandonne l’espace d’une semaine mon traditionnel Five Point Stance. Je reviendrai en longueur sur la faillite totale du secondary avant d’évoquer brièvement les différents points à retenir.

Stunning. Mind-boggling. Head scratching.

How do you explain such a debacle ?

Dans mes previews samedi dernier, je ne donnais pas à Seattle l’ombre d’une chance dans cette rencontre. Je mettais en exergue deux facteurs dont les Seahawks auraient à tout prix besoin pour pouvoir éventuellement faire pencher la balance de leur côté. Une pression constante de la part du front-7 pour prendre à revers la ligne offensive de New England et un excellent match de Marshawn Lynch.

Or je pensais que ces deux aspects de la rencontre seraient parfaitement verrouillés par le game plan mis en place Belichick, tant il excelle dans l’art de retirer de l’équation la meilleure arme offensive de l’adversaire et tant cette ligne est meilleure qu’annoncée.

Et j’avais totalement… raison ! Brady ne fut mis à terre qu’une seule fois après avoir pourtant tenté 59 passes (un record en carrière mais nous y reviendrons plus tard) tandis que Lynch fut limité à 41 yards en 15 portées.

Comment alors les Patriots ont-ils pu perdre un match qu’il menait pourtant de 14 points à moins de 10 minutes du terme ? Well… Si il y a bien un facteur que je n’avais pas prévu, c’est Russell Wilson et l’apathie complète de tout le secondary de New England.

Je dois avouer que je croyais vraiment Pete Carroll en début de saison lorsqu’il se disait en extase complète devant le rookie. J’ai du par la suite réviser mon jugement sur un joueur ayant lancé avant le match de dimanche, 5 interceptions en deux matchs, à la tête de la pire attaque à la passe de la ligue – yes, behind Jacksonville.

Les stats de Wilson dimanche après-midi ? 16/27, 293 yards et 3 touchdowns. 133 QB rating. 133. 1-3-3. Et ce match est pourtant très loin de m’avoir fait changer d’avis sur Wilson. Ce type n’est à l’heure actuelle pas digne d’être un QB titulaire en NFL et ne le sera surement jamais. Il n’a utilisé, et je n’exagère qu’à peine, qu’un seul play durant l’ensemble de la recontre.

Take the snap, roll right and throw as high and as far as you can. And it worked. Big time. 51 yards to Golden Tate, 50 yards to Doug Baldwin, 46 and 29 yards to Sydney Rice and 22 yards to Zack Miller. Soit 198 des 293 yards de Wilson sur des balles à la trajectoire curieuse que n’importe quel DB de division III universitaire aurait soit intercepté ou au moins mises à terre.

Faillite totale du secondary, qui a maintenant concédé 33 plays de plus de 20 yards à la passe de puis le début de la saison. En six matchs ! Même pour leurs standards historiquement bas depuis plusieurs saisons maintenant, les joueurs de New England ont était surprenament mauvais. Kyle Arrington n’a même tenu un quart temps avant d’être mis sur le banc. McCourty ne regarde jamais la balle sur la longue complétion pour Golden Tate. Tavon Wilson est à des kilomètres de Syndey Rice sur le touchdown donnant la victoire à Seattle – McCourty n’étant d’aucune aide non plus. Le play n’est pourtant pas sorcier. Certes, Sydney Rice court admirablement bien son tracé, avec un corner-post double move mais il y a deux joueurs en couverture en zone. Pourtant, personne n’esquisse ne serai-ce qu’un léger mouvement.

Et les pénalités ont encore été légions, ce qui n’est pas forcément une mauvaise chose. On est arrivé à un tel point dans la médiocrité qu’une pénalité pour pass interference est presque célébrée. Au moins, le corner/ safety ne concède pas de touchdown…

Et je ne comprends pas quel est le problème. Ce n’est certainement plus un manque d’investissements. McCourty fut sélectionné au premier tour, Tavon Wilson et Patrick Chung au deuxième et si Kyle Arrington fut undrafted l’équipe a récupéré Steve Gregory de San Diego, toujours solide pendant près de 5 saisons.

Je ne pense pas non plus que ce soit une question de talent. Tous ont montré des flashs de brillance à un moment de leur carrière. McCourty fut sélectionné au Pro Bowl lors de sa saison rookie, Arrington était leader de la ligue en terme d’interceptions l’année dernière et Wilson a montré qu’il a les capacités pour devenir un solide safety dans les années à venir.

Tous, cependant, semblent régresser de jour en jour, joignant une longue liste de Patriots autrefois prometteurs et aujourd’hui au chômage ou la pente descendante de leur carrière. Leigh Bodden, Brandon Merriweather, James Sanders, Terrence Whitley, Darius Butler, … Lorsque les problèmes ne sont plus factuels mais deviennent conjoncturels, il est temps de se remettre en question. Faut-il enfin engager un réel coach pour les DBs ?


Leftover thoughts

  • Russell Wilson might suck but he has now beaten Cam Newton, Tony Romo, Tom Brady and Aaron Rodgers (sort of). Go figure.

  • Je reviendrai rapidement sur un tweet fort intéressant d’Albert Breer d’NFL Network.




Je comprends tout à fait ce point de vue et j’en ai souvent eu l’impression en ce début de saison. Notamment lorsque le play-calling devient extrêmement conservateur dans les dernières minutes et que Josh McDaniels préfère envoyer 3 courses en plein milieu et punter plutôt que d’essayer de remporter le match en mettant le ballon entre les mains de Brady. Après la rencontre de dimanche pourtant, j’ai presque tendance à changer d’avis. Cette équipe a besoin du jeu de course. Les Patriots sont 3-0 lorsque Ridley a plus de 20 portées. 0-3 dans le cas contraire.

  • En parlant de Brady et du besoin de balance.

59 passes tentées contre Seattle, record en carrière. C’est trop, beaucoup trop. Et si il termine le match avec deux interceptions, il aurait tout aussi bien pu en avoir au moins 5. Earl Thomas relâche deux ballons lancés dans sa direction et Sherman un.

Au-delà de ça, l’ensemble de ses décisions furent plutôt questionnables. Il manque un Hernandez totalement démarqué de quinze mètres dans le second quart-temps et s’est rendu coupable de deux pénalités facilement évitables pour intentional grounding.

  • Contrairement à beaucoup, je ne critique aucunement la décision de Belichick de prendre un risque en ne tapant pas immédiatement un field-goal avec 6 secondes à jouer en première mi-temps. Certes, Brady commet une erreur et cela coute au final trois points qui valent chers. Mais à le suite de ce play, il reste une seconde au chronomètre ce qui prouve que l’idée était bonne. Stay agressive.

  • Eh, at least Chandler Jones was good. 9 tackles, 2 sacks, 1 tackle for loss, 3 QB hits, 1 forced fumble.

  • Seattle a bénéficié d’un nombre important de non-call pour holding, en première mi-temps notamment – cela n’excusant aucunnement la défaite.


  • Wes Welker is one tough guy.



Il se relève, passe cinq minutes sur le banc et retourne sur le terrain pour signer son troisième match consécutif avec plus de 100 yards en réception égalant le record de la franchise de Randy Moss en 2007

  • Woodhead est toujours très précieux. Souvent oublié à cause de sa taille lilliputienne (1 mètre 70), il a encore montré ce qu’il peut apporter dans le jeu au sol. Après avoir notamment converti un crucial 3&17 la semaine dernière, il court 9 yards, tout en « puissance » pour maintenir le drive en vie sur un 3&8 à la fin de second quart.

  • Les Patriots ont une nouvelle fois démontré une incapacité totale à terminer les matchs, à protéger un avantage significatif dans le quatrième quart temps et c’est peut-être le côté le plus inquiétant de cette défaite. Je ne développerai pas plus en détail les raisons à cela étant donné que j’ai écrit exactement la même chose la semaine dernière. Mais le problème reste le même.

Closing words

Ce fut très certainement la défaite la plus étonnante qu’il m’ait été donné de voir depuis que je suis les Patriots. Tout simplement inexplicable. La division est maintenant complètement ouverte, avec trois équipes à 3-3. Soudainement, le match à Gillette contre les Jets dimanche prochain paraît beaucoup plus important qu’auparavant. Et cinq des sept prochains matchs de New England sont contre un adversaire de division.

Je savais que cette équipe jeune allait connaître des coups de moins de bien et après des années de saison régulières brillantes suivies de défaites précoces en play-off je préfère peut-être que cette équipe connaisse un peu d’adversité maintenant pour monter en puissance au fil des semaines. Et cette cuvée 2012 a déjà montré de quoi elle était capable lorsque toutes les pièces sont en place au même moment (la fin du match contre Buffalo et la première mi-temps contre Denver).

Il est important d’être critique après une déroute comme celle-ci. Il ne faut pourtant pas être complètement défaitiste. Sauf cataclysme majeur, cette équipe devrait être à même de remporter l’AFC East.

Et plus ?

Surement, étant donné la faiblesse de la conférence en générale. Houston est apparu sacrément mortel sur NBC dimanche soir et Baltimore est maintenant décimé par les blessures en défense. Et dans cette ligue complètement folle où 21 équipes ont déjà perdu au moins 3 rencontres ( ! ), tout peut arriver.

Point d’haïku pour terminer mais un tweet résumant à lui tout seul le début de cette saison 2012.



Don’t forget to hit me on Twitter, @Rabbit_IYH and see you next week.

Bye, bye. 


NEXT WEEK (ON TV)

On va s’ennuyer, la semaine prochaine, puisque Miami ne joue pas.
Au programme de jeudi : une bonne nuit de sommeil. Pour les insomniaques, Seattle at San Francisco (projected score : 3-9) sera un bon remède à votre problème.
Dimanche  à 19 heures : Ravens at Texans, le reste est dispensable, même Washington-Giants qui sera pour la première place de la NFC East.
Dimanche après 22 heures : Jets at Patriots, pour la première place de l’AFC East. Eh oui. Sinon, si vous n’aimez pas le football, ya Raiders-Jaguars, à la même heure.
Sunday Night Football : Steelers at Bengals. Wait, what  ? Encore une bonne nuit de sommeil  ? Cool.
Monday Night Football : Lions at Bears. Je crois que je vais connaître mon meilleur weekend de sommeil depuis le début de la saison…


CHEERLEADERS












C'est tout pour aujourd'hui, alors...






8 commentaires:

  1. Je vous trouve dur avec les Seahawks !

    Je sais pas si c'est parce que les Seahawks est une équipe basée sur la défense (et le run même si dimanche... old man football ?) mais qu'est ce qu'ils prennent. :D

    C'est sur c'est pas flashy. Wilson est pas le meilleur QB de la ligue (il le sera peut être jamais) mais il faut reconnaitre que pour le moment il fait le job. Et puis quand Baltimore ou Pitsburgh gagne des matchs sur la défense c'est normal, pourquoi ça ne serait pas le cas pour Seattle ?

    Aller moi je les vois en play off les seahawks, devant les niners (mark my word).

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  2. Ahhhh, ça existe donc encore, des fans des Seahawks ! Je pensais que l'espèce était en voie d'extinction... Il ne me semble pas en avoir beaucoup parlé, dans cet article. C'est plus Casa, il me semble, qui en parle.

    'Gagner des matchs sur la défense', j'ai du mal à suivre le concept... Le principe du Old Man Football (three yards and a cloud of dust), c'est si tu as une grosse défense, tu vas courir un maximum pour manger du temps et ne pas jouer de derrière au score. San Francisco, meilleur exemple. Le Pittsburgh des années Superbowl avait, certes, une 'grosse défense', mais était en mesure de remonter un score en se mettant à une attaque accélérée. Seattle est un peu comme ça, même s'ils ne sont pas crédibles comme équipe playoffs cette saison selon moi tant qu'ils ne gagnent pas hors de leur stade. Où ils ont d'ailleurs perdu contre les Packers, mais bon...

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  3. Yes, fan des seahawks et je te dis pas quelle équipe universitaire je supporte sinon tu vas croire que je suis complétement masochiste^^

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  4. Nop plutôt dans la Big 10...

    Sinon j'ai une petite question pour toi : j'ai pris le match de "the U" en cours de route, à la toute fin de la première mi temps. Apparemment, il y a eu un problème de temps mort, j'ai pas tout compris, mais le coach de the U (with a nice orange tie btw) avait l'air complétement fou. Tu pourrais l'expliquer dans le report ? Merci.

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  5. J'ai fini le report, et pas parlé de l'arbitrage de ce match, que j'ai abandonné en cours, d'ailleurs... A ce que j'ai compris, FSU a tenté un spike pour arrêter l'horloge et tenter un FG. Les refs ont appelé une procédure illégale (je ne sais pas bien pourquoi, mouvement d'un receveur peut être) et cette pénalité s'accompagne d'un 'runoff' (on avance l'horloge de 10 secondes), et vu qu'il ne restait que 9 secondes à jouer, déclaré la fin de la mi-temps. Le coach des Noles avait encore un TO à appeler, donc pas de runoff... Bordel, les équipes doivent revenir sur le terrain et FSU tente son FG. Ce qui rend Al Golden complètement dingue... Voilà.

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  6. Thank's Verchain, c'est beaucoup plus clair en version française :)

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    1. Je préfère préciser que malgré le smiley c'est pas ironique.

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