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mercredi 14 septembre 2011

Special Edition : Jerzy Time !




















JERZY'S SPECIAL EDITION.

Hey, didn't see you come in...

Notre ami Jerzy, qui apparemment s'est lancé dans la lecture intensive de Marie-Claire depuis qu'il a trouvé une copine beaucoup plus bonne que la plus bonne des Kate Upton de la création, vous propose cette semaine un petit questionnaire de personnalité. Amusez-vous !

Le test de personnalité NFL :

Vous êtes à une soirée qui est «the place to be». Par copinage avec l’organisateur ou simplement parce que vous êtes l’homme le plus cool de la région. Quoi qu’il en soit vous êtes là et vous vous amusez bien aidé par la bande son rock qui crache du décibel à travers les enceintes. Au fil des heures les gens deviennent de plus en plus éméchés et vers deux heures du matin vous voyez un homme s’énerver et prendre la plus jolie fille de la soirée par le col sous le simple prétexte qu’elle lui a refusé une danse. Que faites vous ?






The place to be, on vous dit...



a : Vous vous indignez devant l’attitude de cet homme et l’espace d’un instant, vous envisagez d’intervenir. Ce n’est pas que vous manquez de confiance en vous non, vous savez que vous êtes bon dans ce que vous faites et que vous pourrez probablement foutre une dérouillée à ce gars. Seulement ça nuirait un peu à votre réputation de gentil garçon, après tout personne ne vous a déjà vu faire de mal à qui que ce soit, et d’ailleurs vous ne vous êtes même jamais battus. Vous préférez attendre que quelqu’un d’un peu plus costaud que vous prenne les choses en main et finissez éventuellement par appeler la police --> %


b : Vous vous indignez devant l’attitude de cet homme et l’espace d’un instant, vous envisagez d’intervenir. Vous êtes une personne courageuse à n’en point douter et puis même si vous prenez une raclée au moins votre honneur sera sauf et vous vous dites que même en perdant vous aurez peut-être les honneurs de la demoiselle. Et puis personne n’a l’air de se soucier d’elle et d’intervenir, c’est une bonne occasion de devenir un héros. Vous n’hésitez plus vous vous levez de votre chaise d’un bond et vous vous ruez sur l’élément perturbateur. Malheureusement à mi-chemin vous ne voyez pas le champagne répandu par terre par la belle fille dans le feu de l’action. Vous glissez et quittez la soirée dans une ambulance, victime d’une entorse du genou --> €


c: Vous n’hésitez même pas, vous vous levez et avant même que qui que ce soit ne comprenne, vous étalez le malotru par terre d’un puissant coup de poing. Vous vous épatez presque vous même. Tout vous réussit en ce moment au point même que vous avez senti une certaine animosité de la part des autres convives, probablement jaloux de votre réussite récente. Néanmoins une fois le malotru maîtrisé vous vous enquérez de la demoiselle lui demandant si tout va bien et lui proposant de lui resservir un peu de champagne. Vous finissez par la poutrer (avec élégance, mais poutrer tout de même) à l’arrière de votre voiture flambant neuve --> $


d : Vous êtes l’instigateur de cette rixe. Vous ne comprenez pas pourquoi cette connasse vous a refusé cette danse, après tout vous êtes un ami très proche de l’organisateur et il a personnellement insisté pour que vous soyiez là. Vous avez même refusé deux autres soirées pour venir alors bon, elle aurait bien pu danser avec vous au lieu de se trémousser toute seule comme une conne. Résultat une fois l’incident terminé vous êtes la risée de la soirée. Tout le monde vous regarde du coin de l’oeil avec un air inquisiteur, vous rendant responsable de l’échec de la soirée. Après quelques minutes vous en avez marre et quittez la soirée en jetant votre veste de frustration sur l’allée menant à la maison --> £



Vous êtes lycéen et donc n’avez pas le permis. Vous avez rendez-vous à l’autre bout de Paris, hors de question de ne pas y aller. Avec entrain, certain de passer une bonne après-midi, vous vous rendez dans le métro. Après avoir patienté un bon 20 minutes, vous vous retrouvez devant le guichet : c’est 1 euro et 30 centimes. Vous sortez votre portefeuille avec assurance et vous remarquez que vous n’avez pas de monnaie. Après une courte (mais intense) réflexion, hors de question de ne pas y aller. Que faites-vous ?



a : Les lois n’engagent que ceux qui veulent bien y croire. Et puis même si vous vous faites choper votre bagout pourra toujours suffire à esquiver une amende. C’est d’ailleurs ce que vous vous dites chaque fois que vous n’avez pas les moyens de payer le métro. Calcul rapide : Deux changements, 45 minutes de trajet, un lundi après-midi … Il fait beau, les contrôleurs sont sûrement au bistrot, c’est là que vous seriez à leur place. D’un geste souple et élégant, vous sautez au-dessus du tourniquet. Une fille vous aperçoit et vous sourit. Vous la poutrez (avec élégance mais poutrer tout de même) dans un local de service --> $



b: Votre réflexion a été d’autant plus courte qu’en fait vous ne payez presque jamais vos tickets de métro. Pour qui se prend cette « RATP » pour vous imposer une telle taxe chaque fois que vous avez besoin de vous déplacer ? Ils sont toujours en grève, il n’y a jamais de place dans les rames et ces seuls désagréments suffisent à vous convaincre d’enjamber un peu lourdement le tourniquet. Vous êtes surpris par un contrôleur en civil, une contrôleuse même. Elle est plutôt jolie. Vous lui proposez de coucher avec vous. Elle vous répond d’une clé de bras vous mettant à terre, son genou vous broyant le dos. Vous finissez au poste avec une lourde amende et urinez sur la porte de votre cellule --> £


c: Vous êtes mal à l’aise à l’idée de voyager sans payer. Ca va à l’encontre de tout ce que vos parents vous ont appris. La loi est la loi et même si elle est parfois injuste, il faut s’y tenir. Et puis l’amende est importante donc vous êtes complètement perdant si jamais vous vous faites prendre. Votre curiosité vous pousse malgré tout à vous diriger vers les tourniquets et regarder à droite à gauche si quelqu’un est là pour contrôler. Vous ne voyez personne mais vous ne parvenez pas à lever votre jambe pour passer sans payer. C’est simplement au-dessus de vos forces, vous n’êtes pas du genre à sombrer dans l’illégalité. Ça commence comme ça et ça finit par une seringue plantée dans le bras entouré de nenettes à moitié nues et défoncées : très peu pour vous. Vous attendez qu’une rame arrive et demandez poliment si un voyageur peut vous donner son billet (valable une heure rappelons-le) --> %


d: Ce n’est pas tellement dans vos habitudes d’être dans l’illégalité. Vous êtes populaire au lycée mais c’est surtout parce que les gens vous voient comme un dur alors que vous ne l’êtes pas tellement. Néanmoins cette situation vous plaît et vous êtes prêt à assumer une amende pour resquille juste sur ce principe. Après tout vous ne savez pas si quelqu’un qui vous connaît se trouve dans la même station. Ça serait un coup dur pour votre image de bad boy. Et puis si elle l’apprenait, elle ne s’intéresserait plus à vous. Non sans avoir regardé un peu si un contrôleur attendait là, vous sautez au-dessus du tourniquet. Malheureusement vous n’avez pas sauté assez haut, votre pied ne passe pas le tourniquet et vous vous étalez face contre terre, vous cassant deux dents. --> €

Lundi 18 heures. Vous êtes au boulot. Votre supérieur passe et vous informe que ce que vous deviez finir pour la fin de semaine doit-être impérativement terminé ce soir. Ça vous emmerde un peu parce que vous aviez des choses prévues mais vous savez que vous ne pouvez pas réellement dire non. Encore que, peut-être que votre chef pourrait comprendre, il doit bien avoir une vie après tout. Vous vous remémorez la promesse que vous vous étiez faite : plus jamais des heures impossible. En tout cas, l’heure est venue de choisir. Que faites-vous ?




a : Qui est-ce mec pour vous obliger comme ça à rester tard ? Vous n’avez pas prévu quelque chose de folichon mais ça vous emmerde bien de rester tard alors que ces heures supplémentaires ne vous seront pas payées (statut cadre inside). Et puis votre contrat dit 38 heures/semaine, ça fait 7h30 par jour et vous comptez bien ne pas en faire une de plus. Déterminé, l’air grave, vous annoncez votre décision à votre supérieur. Vous en avez même oublié, l’espace d’un instant, que vous étiez toujours en période d’essai. Votre patron vous signifie la fin de la période susnommée. Vous vous retrouvez sans emploi. Vous vous énervez, criez sur votre patron mais rien n’y fait. Un agent de la sécurité vient vous escorter. De rage, vous lancez votre veste sur le bureau de la salle de réunion --> £
b : Ça ne vous pose aucun problème. Vous ne remettez jamais en cause les directives de votre patron et s’il vous demande de faire ces heures, c’est qu’il a raison. Et puis c’est le bon moment pour vous faire bien voir en vue des augmentation, tant pis si vous devez annuler votre 1er rendez-vous avec la jolie Lili, mais vous êtes convaincu qu’elle ne vous en voudra pas. Vous passez la soirée devant votre écran d’ordinateur, faites votre travail et finissez par rentrer chez vous. Votre mère vous accueille en vous disant « Bah alors, tu rentres bien tard ? Je t’ai laissé du poulet dans le micro-ondes » ---> %



c: Ça vous emmerde et vous le faites clairement savoir. Cependant vous allez rester quand même. Ce qui vous dégoûte le plus dans l’histoire c’est que ce boulot important, vous l’auriez fini demain et fait semblant de travailler jusque la fin de semaine, histoire de vous la couler douce au boulot. Vous êtes tellement efficace que vous allez torcher rapidement le boulot. C’est votre manière à vous de dire à votre patron qu’il peut compter sur vous mais qu’il vous fait quand même bien chier. Et puis vous n’aviez de toute façon pas prévu grand-chose. Vous estimez que votre investissement a intérêt de vous rapporter une augmentation prochaine. Finalement, vers 20h, Anna la jolie secrétaire passe au bureau rechercher son téléphone qu’elle avait oublié. Vous la poutrez (avec élégance, mais poutrer tout de même) dans la salle serveur de l’agence --> $


d: Vous êtes partagé. Vous cherchez d’abord à savoir si cet horaire difficile concerne aussi d’autres employés. Vous espérez que si d’autres restent, votre patron sera plus enclin à vous laisser partir. Après tout vous pensez fermement l’avoir convaincu de vos capacités et que vous aurez suffisamment avancé le boulot pour permettre à vos collègues de continuer sans vous. Vous comprenez finalement que vous n’avez pas le choix et que vous devez rester. Vous gardez votre frustration en vous et acceptez de faire le boulot, laissé seul à vous-même. Une heure plus tard vous allez prendre une petite pause, un thé va vous faire du bien. En prenant la bouilloire pleine, vous la laissez échapper, ne parvenant à l’empêcher de tomber qu’au prix d’un brillant réflexe. De l’eau bouillante s’en échappe et vous brûle la main au troisième degré --> €

Vous profitez d’une agréable journée d’été pour passer un peu de temps seul dans un parc public. L’herbe est fraîche et bien tondue et le saule pleureur vous fournit toute l’ombre dont vous avez besoin. Allongé, une douce brise sur le visage, vous sortez un livre de votre sac et commencez à bouquiner. Vous êtes bien. Tellement bien que vous vous assoupissez. Vous sortez de votre torpeur en entendant un enfant farfouiller dans votre sac. Il s’empare d’un paquet d’un Kinder Bueno et alors que vous vous réveillez, il s’enfuit. Que faites-vous ?




a : Vous n’hésitez pas et vous lancez en courant derrière l’enfant. Vos capacités athlétiques vous permettent de le rattraper très rapidement. Vous tenez l’enfant par l’épaule et vous agenouillez à son niveau. Calmement vous lui faites la morale sur le fait que voler, c’est mal. Après deux minutes de monologue vous laissez partir l’enfant tout penaud en lui donnant son Kinder. Au loin la mère de l’enfant, apercevant le manège vient vous voir pour vous remercier. Vous laissez l’enfant sur une aire de jeu et poutrez (avec élégance, mais poutrer tout de même) la maman dans un coin sombre --> $



b : Vous voyez l’enfant partir et vous ne savez pas quoi faire. Le réprimander ? C’est le rôle des parents. Aller voir la mère ? Pourquoi pas mais vous savez qu’une maman prend quasiment toujours la défense de son enfant. Vous vous rappelez à ce sujet de votre propre maman qui jamais ne vous aurait engueulé pour ça. Vous vous rappelez votre enfance, les moments de bonheur partagés avec vos parents, les premiers ballons lancés, les premiers bobos. Vous vous dites que vous étiez vraiment un enfant modèle et que jamais on ne vous aurait pris la main dans le sac. Une fois votre réflexion terminée vous voyez arriver la maman de l’enfant, votre Kinder Bueno à la main vous disant : « tenez c’est à vous. Vous ne devriez pas vous laisser faire » --> %


c : Votre sang ne fait qu’un tour. Vous courez pour rattraper l’enfant, l’attrapez au cou en lui hurlant des injures attenantes à la profession de sa mère. L’enfant crie, se débat et ameute les badauds qui s’approchent en vous dévisageant avec dégoût. Vous laissez l’enfant partir. Il se réfugie dans les bras de sa maman en pleurant « il m’a fait mal le Monsieur ». Un homme vous invective. Vous lui répondez avec vigueur. S’en suit un échange maladroit de coups. Vous en prenez une belle mais restez debout, par fierté. Les gardes-vert du parc vous séparent et vous ordonnent de quitter les lieux. De rage vous jetez votre sweat dans un arbre --> £


d : Vous hésitez un moment, partagé entre l’envie de donner une leçon de morale à l’enfant et juste le laisser fuir, ce n’est après tout qu’un Kinder Bueno. Mais l’envie de mettre la honte à l’enfant est plus forte. Vous vous dites que la honte fonctionne bien avec les enfants et que si ça se trouve, vous allez réprimer l’éventuelle future délinquance d’un jeune. Fier de vous dire que vous allez participer à l’embellissement de la société, vous vous levez d’un bond. Vous vous faites un lumbago et finissez la journée à l’hôpital --> €



Résultats
Vous avez un maximum de « € » : Vous êtes assurément quelqu’un de bien. Vous avez juste la poisse. Et votre poisse est douloureuse. Vous pensez parfois avoir la maladie des os de verre mais systématiquement, une fois la blessure passée, vous retournez vaillamment au combat pour vous blesser de nouveau. Pourtant vous avez un talent indéniable. Vous seriez le meilleur (ou presque) avec un peu plus de chance mais malheureusement votre physique en mousse empêche votre entourage de compter réellement sur vous. C’est assez paradoxal dans la mesure où c’est lorsque vous êtes livrés à vous-même que vous vous blessez le plus facilement. Vous brulez régulièrement un cierge, implorant les puissances supérieures de vous solidifier un peu le corps. Avec les filles c’est également difficile dans la mesure où vous êtes plâtré durant 75% de l’année. Note positive, vous avez un mental à toute épreuve : vous êtes Matt Stafford


"Euh, s'il te plait, chérie, enlève ta main, là, je préfère que ce soit un
gros lineman qui me bousille l'épaule, si ça ne te dérange pas..."


Vous avez un maximum de £ : Que cela soit clair, vous êtes un peu une tête de con. Un homme capricieux à l’égo démesuré. Vous supportez très mal d’être rejeté et c’est là la source de nombreux conflits entre vous et votre entourage. Vous bénéficiez parfois d’un bon ami qui vous fait confiance et dit systématiquement aux autres que « c’était la dernière fois, ça n’arrivera plus, vous verrez » mais jamais vous ne vous montrez digne de cette confiance et il y aura bien un jour ou cette amitié disparaîtra. Votre vrai problème est d’avoir été trop haut trop vite et vous avez du mal à vous dire que la roue a tourné dans le mauvais sens et votre caractère de merde est dû à l’impatience de voir cette roue tourner à nouveau. Vous êtes célibataire depuis que vous avez cogné votre ex-copine, cette salope qui ne vous laissait pas aller voir vos amis. Eventuellement, prenant conscience de la personne que vous êtes, vous envisagerez de vous suicider : vous êtes Vince Young
Mais ou ai-je encore balancé mon tee-shirt ?

Vous avez un maximum de $ : Vous êtes jeune, beau, débordant d’enthousiasme, vous réussissez tout ce que vous entreprenez et les gens vous le rendent bien. Vous ne partiez pas pourtant vainqueur, votre père étant un homme d’exception ayant lui aussi réussi beaucoup de choses. Dans son ombre, vous avez patienté, appris énormément de choses et lorsqu’il est parti vous n’avez eu besoin que d’un peu de temps avant de tout exploser. Les filles vous adorent et vous ne résistez pas à l’envie d’en poutrer une (avec élégance, mais poutrer tout de même) à l’occasion. D’aucuns diraient que vous êtes un salaud mais vous êtes tellement classe que personne ne vous en veut réellement. Les gens se contentant de dire « bah puisqu’il peut, autant qu’il en profite ». Vous serez un jour président de votre pays, peu de temps après avoir été le premier à marcher sur Mars : vous êtes Aaron Rodgers

- J'te jure, petit, comme ça, qu'elle est, sur la photo envoyée à Jenn...

- On t'a déjà dit que t'étais un petit joueur ? Erin Andrews, elle, se souvient d'un truc
de cette taille là...




Vous avez un maximum de % : Personne ne dira jamais de vous que vous n’avez pas de talent. Vous êtes juste, compétent mais vous n’êtes pas un leader. Quand vous êtes dans un groupe, tout le monde en regarde un autre, pas forcément aussi talentueux mais plus classe. Vous donnez l’impression d’être le garçon gentil que vous êtes. Avec vous, tout sent toujours le savon et ça ennuie parfois les gens, y compris vos employeurs qui, tout en se félicitant de votre excellent travail, aimeraient que vous soyez un peu plus force de proposition. Vous avez eu énormément de mal à quitter la maison de votre mère et c’est avec enthousiasme que vous y retournez régulièrement. Votre copine vous a récemment quitté pour un homme un peu plus crade et vous avez du mal à comprendre cette situation. Vous finirez votre vie avec une femme que vous n’aurez jamais vraiment aimé, dans le seul but de vous fondre complètement dans la société. Vous aurez un garçon, une fille et un chien et vivrez dans un petit pavillon de banlieue toute votre vie : vous êtes Matt Ryan.

Gnéééééééé !




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