VERCHAIN'S
TAKES : WEEK TWO
Bang. Une semaine, et un
bon gros paquet de nos certitudes fondées sur la première semaine
de compétition se retrouvent refoulées au rang de doutes affreux,
pour certains, ou jubilatoires, pour d'autres.
Voici, en quelques
lignes, les Verchain's Takes de la semaine, avec les choses qui ont
intéressé votre serviteur cette semaine, avec le Casa's Corner
également qui reviendra sur l'une des grosses désillusions de la
semaine, et un nouveau featuring qui deviendra peut-être régulier,
le 'Sunday Purple Sunday' de l'ami Ludovic.
Lecteurs, n'hésitez pas
à soumettre vos collaborations, mon APPEL AU PEUPLE est en vigueur
pour toute la saison... Et moins j'en fais, mieux je me porte (en
fait, je peux passer plus de temps à mater Kate Upton sur Internet).
Here we go...
SCORES
STATS
STANDINGS
VERCHAIN'S
TAKES
Eli
= Elite ?
Great
players make big plays in big games. Et surtout, ils sortent la
grosse artillerie quand ça compte vraiment. Alors que j'étais sur
le point de noter dans mon petit cahier qui m'accompagne à chaque
fois que je me pose devant un match que la défense des Buccaneers
avait vraiment franchi le pas, bang, Eli nous sort le TD longue
distance en direction de Victor Salsa Cruz.
Un
début de match furieusement 2010, avec trois interceptions. Juste
avant que Manning n'embarque son équipe sur ses épaules, un peu
contraint il est vrai par la blessure de Bradshaw et l'ampleur du
score. Pour finir avec 510 yards lancés, 3TD. Un total de 604 yards
en attaque pour Big Blue, deuxième meilleure performance de tous les
temps pour l'équipe. Et une vraie fin de match enthousiasmante
contre des Bucs qui refusaient de mourir, revenant au score juste
après le temps mort des deux minutes.
On
peut comprendre la frustration des jeunes Bucs, ce qui les a poussés
à dépasser les bornes des limites :
Ce
qui nous a permis d'assister à la version East Coast du Handshake
Bowl qui n'allait finalement pas avoir lieu, comme la guerre de
Troie. Avec Tom Coughlin dans sa meilleure imitation de Harbaugh
West.
Whatever,
Greg Schiano est pour le moment la plus belle réussite des nouveaux
coaches de l'année. Il a infusé une sorte d'attitude dans son
équipe, et notamment dans sa défense, même si cette dernière
s'est faite torpiller lorsqu'elle n'aurait pas du. Mais bon...
Flacco
= Fiasco !
Elite,
qu'il disait... (read more below). Pitre, oui. Certes, Flacco n'est
pas toujours aidé par les choix bizarres de Cam Cameron, qui croit
sans doute qu'il est encore head coach des Dolphins, une équipe qui
ne sait plus courir depuis... Enfin, depuis avant dimanche.
Flacco,
sorti des rangs universitaires la même année que Matty Ice Ryan,
qui connaît des meltdowns à répétition tous les ans. Flacco, qui
a totalement disparu de la circulation en deuxième mi-temps contre
les Eagles, avec des Ravens qui ont totalement abandonné la course,
ne remettant pas leur destin entre les mains de leur meilleur joueur,
Ray Rice. 8/26, voilà la stat, et en comptant bien évidemment les
third downs non transformés avec un yard à parcourir...
Flacco
= Fiasco !
Tiens,
en parlant des Eagles, ma prédiction de les voir élever leur niveau
contre les grosses équipes et abaisser le niveau contre les équipes
plus faibles semble se vérifier. En attendant, remporter deux matchs
en totalisant 9 pertes de balle, avec un Mike Vick capable de merder
pendant tout le match avant de sortir le drive qui va bien pour faire
passer son équipe devant, j'appelle ça marcher sur la corde raide.
Our
weekly 'Fuck that, those are the same old fashionned Niners' Item.
Et
c'est reparti pour un tour. Quel grand QB que cet Alex Smith. Stop
bullshitting us, media ! Oh, certes, je conçois que personne ne
veut croiser la route de Harbaugh West et son orchestre en ce moment,
mais cela a comme d'habitude plus à voir avec la défense toujours
aussi solide (qui aura mis hors de position Calvin Johnson pendant
une bonne partie du match) et le jeu de course façon smashmouth
qu'avec l'ancien first overall pick.
Comme
pas mal de QB vedettes de college qui sont partis en torche chez les
pros, Alex Smith n'est rien de plus aujourd'hui qu'un caretaker, un
gestionnaire, qui pense d'abord à ne pas perdre le ballon. 5,9 yards
par passe tentée, ça vous fait rêver ? 31 passes tentées
pour 27 courses appelées, c'est un jeu conservateur. Certes, ça
marche. So what ? De quoi tresser des couronnes à Smith ?
Stop bullshitting us ! Cible principale ? Vernon Davis,
comme l'an passé.
Alex
Smith, c'est le Trent Dilfer de 2000 chez les Ravens. Ni plus, ni
moins. Et même si Dilfer a lancé le TD victorieux au seul Superbowl
remporté par les Ravens, personne ne se souvient de lui comme d'un
QB titré. Et pourtant, à mon grand regret, le Old Man Football
pourrait bien triompher cette année, en février. Le pire cadeau
d'anniversaire qu'on puisse me faire.
Tiens,
en passant, le Handshake Bowl n'a pas eu lieu. Merci à Jim Schwartz,
qui a montré qui était le brave type dans le duo, en se précipitant
avant le match pour aller serrer la pince de Harbaugh West.
The
Panic Bowl is set up. Tune in on Sunday, September 23. 1PM.
Chiefs
at Saints. Ou l'affrontement de deux équipes qui doivent
sérieusement songer à sauter à pieds joints sur le bouton 'Panic',
dès maintenant.
Les
Chiefs d'abord. Un paquet de noms en défense. Tout ça pour se faire
démonter par CJ Spiller et les Bills ce dernier dimanche. Domination
totale de Buffalo. Les Chiefs offrent des big plays à leurs
adversaires, et semblent perpétuellement en retard sur toutes les
actions adverses. Incapables de se séparer des blocks adverses, avec
des tackles manqués par tombereaux, et donc incapables d'arrêter
correctement la course, une semaine après avoir été démolis par
les airs aux mains des Falcons.
L'attaque
n'est pas beaucoup mieux. Les touchdowns sont tombés lorsque le
match était déjà entendu. Comme les stats. 4 punts de suite, et
deux fumbles. Voilà pour le total de la première mi-temps. Jamal
Charles est totalement inexistant depuis son retour de blessure. La
ligne offensive est plus que perméable à l'intérieur, avec 4 sacks
concédés aux DT des Bills. Les temps sont moroses.
Et
les Saints, ensuite. Qu'on donne maintenant le titre de coach of the
year à Sean Payton. Sa seule absence pourrait suffire à expliquer
le manque d'implication en attaque, avec des routes bizarrement
parcourues par les receveurs, et une ligne offensive où Carl Nicks
manque cruellement. Pour battre les Saints en ce moment, c'est
'simple'. Pas besoin d'envoyer 6 gus au blitz. Perturber tant que
possible les receveurs en les repoussant dans les 5 yards, couvrir en
zone, et laisser la ligne défensive bousculer la ligne offensive des
Saints. Brees privé de solutions, ce sont des passes flottantes (6,6
yards par passe, l'un des plus faibles totaux de sa carrière), et
surtout des interceptions lancées à un rythme Sanchézien (4 en
deux matchs, contre 14 sur toute la saison passée). Au sol, Pierre
Thomas a gentiment fait illusion avec une grosse course de 48 yards
et une moyenne respectable, mais Mark Ingram a un mal de chien à
faire la différence (3,1 ypc contre les Panthers...). Même Jimmy
Graham ne semble pas bien dans ses baskets...
Mais,
pire que tout, c'est la défense qui fout les jetons. Elle a l'air
d'avoir du mal contre les attaques universitaires (encore un TD
encaissé sur une bonne vieille zone read à la Urban Meyer). Mais
elle laisse aussi aboutir des jeux de passe qui ne devraient jamais
arriver. Une passe de Cam Newton pour 66 yards à Steve Smith, avec
pas un seul défenseur visible à l'écran. Tout seul. Busted
coverage. Idem contre la course, avec 219 yards laissés aux Panthers
qui sont donc revenus à leur bon vieux gameplan run heavy.
Finalement, cette histoire de prime sur les attaquants adverses, ça
ne marchait pas si mal que ça... Avec 75 points encaissés en deux
matchs, là aussi, les temps sont moroses...
Bref,
le perdant du prochain match sera dans une situation peu enviable de
voir la saison déjà quasiment terminée. Oui, je sais, il est
encore tôt, mais le réveil ne doit pas sonner trop tard.
Adventures
in officiating
Autant
l'ensemble des commentateurs avait été plutôt sympa avec les
arbitres intérimaires la semaine passée, autant les motifs de
désolation tant du côté des fans que des joueurs et coaches
semblent avoir pris le pas cette semaine. Les arbitres font partie du
jeu, mais... Mais même Aaron Rodgers se plaint...
- Un arbitre a été changé à la dernière minute avant le match entre les Saints et les Panthers car ce monsieur, Brian Stropolo, s'affiche sur Facebook comme un fan des Saints.
- Jeff Sardorus arbitrait la semaine passée à Phoenix lors du match contre les Seahawks. On a appris depuis que le monsieur avait été payé par le Blue Men Group de Seattle pour arbitrer durant des séances d'entraînement de l'équipe... Pete Carroll se croit toujours à USC...
- Les matchs choisis par ESPN America à 19 h à chacune des deux premières semaines de compétition ont été d'une insupportable longueur, avec des prises de décision à rallonge. Plus de 3h30 à revoir les mêmes vignettes de E:60 qui parlent de concours de Rubik's Cube, c'est juste insupportable.
- On n'est pas passés bien loin d'une baston générale sur le match entre Baltimore et Philly, avec des officiels qui oublient d'éjecter notamment MeSean Jackson...
- Le GIF de la semaine (see below) vous montre un play affreux laissé sans sanction par les refs, alors qu'un défenseur des Cowboys a été sanctionné pour brutalité sans avoir touché Russell Wilson qui courait en dehors du terrain...
- Les Pats peuvent hurler au scandale, un TD de Danny Woodhead ayant été annulé pour un holding inexistant de Gronk...
Bref,
il est temps que ça cesse. Ou que ça continue, parce que je me
marre bien quand...
Stuff
like this
happens...
Yeah,
glamecock...
Randomize
my Takes !
- So, New Jersey ? Still boasting like morons ? I guess not... Fini, le ridicule talk autour des Jets, de Mark Sanchez et de sa magnificence au poste de QB. Voilà ce que ça fait, de croiser une vraie belle défense, pourtant privée de deux de ses meilleurs vieux (Taz et Harrison).
- Mes excuses pour avoir sous-estimé la défense des Cardinals. Limiter ainsi les Pats, peu de monde aura été capable de le faire. En vedette, Calais Campbell et Darnell Fart Box Dockett, sans oublier Patrick Peterson, qui ajoute en plus un rayon 'Wildcat QB' à sa bibliothèque.
- Et le camarade Kolb pourra s'aligner comme starter la semaine prochaine face à l'équipe qui l'a envoyé dans le désert de l'Arizona... So long, John Skelton...
- In case you didn't notice : Arizona en est à 9 victoires sur ses 11 derniers matchs. Comme les Packers, tiens...
- Sam Bradford m'avait bien plu la semaine passée contre les Lions. Et a confirmé avec une performance solide contre les Redskins qui avaient bien harcelé Drew Brees la semaine passée. Danny Amendola se transforme en receveur le plus ciblé de l'effectif (15 catches). Peu attendu... En attendant, avec Jeff Fisher, les Rams se transforment tranquillement en une équipe solide, qu'il faut bouger pour battre. Tout le contraire de la triste troupe de la saison passée. C'est déjà une forme de victoire. Hey, les quatre équipes de la NFC Waste ont gagné, ce weekend...
- Blaine Gabbert. LOL, comme disent les jeunes... Toujours aussi pitresque. 7/19, 53 yards (dont 13 en première mi-temps), 1 TD, et la furieuse volonté de ne pas le laisser trop souvent lancer le ballon. 14 courses pour 21 passes au total, parce qu'on a vu un revenant...
- Hé, Chad Henne ! Perfect on the day. 2/2. Quarterback controversy !
- La défense des Texans est exceptionnelle contre les attaques merdouilleuses de Floride. Prochain vrai test : Peyton !
- Ouais, même si Peyton était bon dans son imitation d'Eli 2010, avec ses trois interceptions contre les Falcons...
- Philip Rivers : 6-0 contre les Titans. Dante Rosario. 4 réceptions sous le maillot des Chargers. 3 TD.
- Oh, rien sur les Packers ? Sans doute parce que depuis vendredi matin, je me sens un peu comme Steve Mariucci...
RUNNING
ITEMS
Your
rookie Quarterbacks review :
Cette
saison, nous suivrons tant que ça en vaudra le coup les performances
des nouveaux quarterbacks. Des fortunes diverses cette semaine,
individuellement ou collectivement...
Robert
Griffin 3, la vengeance. (1-1)
L'attaque universitaire,
ça fonctionne toujours, avec cette semaine 2 TD à la course, dont
un sur un set en pistol du plus bel effet. Wolfpack style. Première
interception de la saison. Les Redskins sont heureux de l'avoir
sélectionné, tout ça... En attendant, beaucoup de hype, mais pas
de victoire pour les Redskins cette semaine, et des jours qui
s'annoncent plus compliqués maintenant que Shanny and friends ont
perdu Brian Orakpo et Adam Carriker, deux éléments très importants
de la défense.
La
ligne de stats :
Dimanche :
20/29, 206 yards, 1TD, 1INT, 82 rush yards en 11 courses, 2TD.
Saison :
526 yards à 39/55, 3TD, 1INT, 124 rush yards, 2TD.
L'appréciation :
Still buzzing. A lot like Cam Newton...
Andrew
Luck, la main froide. (1-1)
Et
Luck a finalement eu son premier 'moment' en carrière. Drive final :
20 yards vers Avery, 20 yards vers Reggie Wayne, hors jeu des
Vikings, field goal de Vinatieri. Winning !
La
ligne de stats :
Dimanche :
20/31, 224 yards, 2TD, 21 rush yards en 4 courses.
Saison :
533 yards à 43/76, 3TD, 3INT. 30 rush yards.
L'appréciation :
Demeure selon moi le meilleur passeur de la troupe. QB à l'ancienne.
Beaucoup plus mon type de joueur que Griffin. Moins de big plays,
plus de jeux dans une attaque pro sans variation universitaire
alakon. Aura des difficultés, mais saura au moins quoi faire contre
les équipes assez médiocres pour ne pas être meilleures que les
Colts.
Ryan
Tannehill, we still want more Lauren
(1-1)
La
ligne de stats :
Dimanche :
18/30, 200 yards, 1 passe de TD, 14 yards au sol en trois courses,
1TD
Saison :
419 yards à 38/66, 1 passing TD, 3 INT, 13 rush yards, 1TD.
L'appréciation :
Un bon petit match contre de tristes Raiders, un match complètement
ridicule contre la défense des Texans, qui semble d'un autre
calibre.
Russell
Wilson , little big man. (1-1)
Première
victoire pour les Seahawks, avec une petite contribution du QB. Pas
de quoi écrire à ses parents.
La
ligne de stats :
Dimanche :
15/20, 151 yards, 1TD. 28 yards en 4 courses.
Saison :
304 yards à 33/54, 2TD, 1INT, 48 rush yards.
L'appréciation :
The jury is still out. Takes care of the football when the run game
is on. Can't win by himself.
Brandon
Weeden, old man football. (0-2)
Need
comment ?
La
ligne de stats :
Dimanche :
26/37, 322 yards, 2TD, 6 yards en 2 courses.
Saison :
440 yards à 38/72, 2TD , 4INT, 31 rush yards.
L'appréciation :
Au
moins, les Browns ont semble-t-il fait un meilleur choix avec leur
premier choix du premier tour de la dernière draft...
Amazing
Passing Numbers :
Pour
espérer battre le record de yards en saison, 5476 yards par Drew
Brees l'an passé, il faut lancer une moyenne de 342,25 yards par
match. Pour le moment dans le concours, nous trouvons :
- Eli Manning, avec 723 yards en deux matchs, soit une projection à 5784.
- Mike Vick, avec 688 yards, soit une projection à 5504 yards (et heureusement pour Mike Doggy Dog qu’on ne compte pas les yards de retour d’interception)…
Sack
Me I’m Famous :
Maintenant
que nous avons deux matchs dans la valise (ce qui change tout du fait
de n’avoir qu’un match dans la valise), nous pouvons nous pencher
sur les quarterbacks qui ont le plus de chances de se faire décapiter
en live à la télé.
J’emploie
à dessein le concept de ‘pires’ et de ‘meilleures’ lignes
offensives uniquement dans une catégorie statistique : les
sacks. Parce que la passe est l’avenir du football.
Rappelons
à toute fin utile que l’an passé, ce sont les Rams qui ont dominé
le bazar avec 55 sacks encaissés, alors que la ligne des Bills n’a
laissé passer que 23 sacks sur Fitzy, ce qui ne l’a pas empêché
de lancer un paquet d’interceptions…
Les
deux pires lignes offensives sont :
- Les Bengals avec 10 sacks, soit potentiellement 80 takedowns sur 16 matchs, et 3 membres arrachés pour le rouquemoute Andy Dalton.
- Les Bears avec 9 sacks, soit potentiellement 72 sacks encaissés par Jay Cutler, qui pourrait bien avoir un peu de temps pour pouponner.
Les
deux meilleures lignes offensives sont :
- Les Bills, toujours présents et avec aucun sack. Take this, Rexy.
- Les Falcons, Jets, Titans, Texans suivent avec deux petits sacks...
Pitre
of the Week :
Josh
Morgan, WR, Washington Redskins.
Bien
vu, pitre. Certes, en face de toi, tu avais Cortland Finnegan, une
vraie belle salope comme on n'en trouve plus que dans les clubs les
plus célèbres de la capitale, mais là... un bon petit pétage de
plombs en direct sous les yeux de l'arbitre, 15 yards de pénalité,
et un field goal qui aurait pu permettre aux Redskins d'égaliser, et
voilà que tu nous amènes un des WTF moments de la semaine :
Shanny qui décide d'envoyer Billy Cundiff (LULZ) pour un field goal
de... 62 yards... Héhé... There were people smiling in Baltimore.
Smiles among cries...
A
player I liked :
CJ
Spiller, RB, Buffalo Bills.
Forget
about Ray Rice, Adrian Peterson or whatever... CJ Spiller est la
révélation de ce début de saison. Oui, Verchain a ce joueur dans
sa fantasy team. Oui, Verchain avait parié sur une blessure de l'ami
Fred Jackson au moment de sélectionner le joueur. Oui, Spiller a
rapporté sa trentaine de points à la Team Verchain. Oui, Verchain a
encore perdu et en est encore à 0-2. Oui, Verchain est nul à ce
jeu, parce qu'il a trop tendance à prendre des joueurs de football
et pas des statistiques dans sa draft et ses trades. Mais Verchain a
Aaron Rodgers.
Spiller
aura mis du temps avant de devenir le coureur décisif qu'il est sur
les deux premières semaines de compétition. Sorti en 9 de la draft
chez les Bills, il n'aura été pour ses débuts qu'un simple third
down back, ayant un peu de mal à faire la transition depuis la
spread de Clemson vers le jeu pro. Mais le garçon, qui ne fait pas
parler de lui ou presque en dehors du terrain, s'est attelé à la
tâche. Et il a assez d'humilité pour mettre ses bonnes performances
récentes sur le compte de sa ligne offensive et sur son bon travail
de présaison. Et, ici, on aime les skill position players qui
pensent aux gros morceaux de viande qui leur ouvrent la voie...
En
tout cas, Chan Gailey semble avoir trouvé le moyen de protéger Ryan
Fitzpatrick : limiter au maximum le recours au jeu de passes,
établir la course. Bref, c'est la recette qui marche quand on n'a
pas le QB pour porter son équipe (see, Tannehill, Ryan...).
Tiens,
par exemple, un autre numéro 28 en est à 21 yards cette saison. Et
à la moyenne à 2,1 ypc. L'autre CJ, notre joueur préféré de la
semaine, en est à plus de 10 yards par porté. Ça ne va pas durer,
mais tant que ça marche, on sera heureux dans la Bills Mafia.
GIF
of the Week :
Et
dire que c'est tout à fait le genre de plays qu'on reprochait à
Hines Ward dans le temps. Et là, pour un peu, on glorifierait Golden
Tate pour ce block totalement illégal. Bad Boy !
The
rush to April’s Draft :
Tsss,
les Colts lâchent une défaite précieuse à domicile contre les
Vikings, qui se sont montrés une nouvelle fois bien méritants, et
se relancent dans la course tout en restant à distance respectable
de nos beaux leaders de Jacksonville, merveilleux d'ineptitude
offensive contre les Texans. Kansas City pourrait bien être un
candidat sérieux pour le titre.
Le
classement :
- Jacksonville (0-2)
- Kansas City (0-2)
- Oakland (0-2)
- Cleveland (0-2)
- Tennessee (0-2)
Stay
tuned.
THE MIAMI
DOLPHINS ARE A GREAT REASON TO :
BE
HAPPY/BORED/DEPRESSED OR GO KILL YOURSELF...
Ladies and gentlemen,
your Miami Dolphins are actually ranked first in the AFC East, at
1-1. Yes, like the Patriots. And Jets. And Bills. En attendant, Miami
aura donc été leader de division une fois dans la saison, et au
bout de la deuxième semaine de compétition, dites...
Didn't see it coming
(That's what she said).
Allez, petit résumé
rapide :
Player
of the Week :
Reggie
‘I used to fuck a fat bitch named Kardashian’ Bush, Running Back.
Unstoppable.
Explosion
de Reggie Bush contre les Raiders : 172 yards au sol et 25 en
réception, 2TD, avec une charge de travail record de 26 portés.
Boum, boum. Ça partait dans tous les sens, pour une moyenne de 6,6
ypc. Reggie Bush qui devient bon sur ses vieux jours... Abeulibeubol.
Positives
A
good ol' naked bootleg. Le premier touchdown chez les pros de Ryan
Tannehill. Après une première semaine misérable, les pires
prophètes à deux balles qui te transforment un rookie en futur
grand sur la base d'une seule performance contre une défense
d'Oakland qui m'a semblé être totalement à côté de ses pompes
se sont déjà mis en route. Quel futur grand joueur. Ahem... Certes,
la ligne de stats de Tannehill est aussi satisfaisante que les
mensurations de Lauren (200 yards à 18/30, 1TD pass, 1 rushing TD, O
INT, 1 sack), mais de là à considérer que cette victoire repose
sur les épaules du QB, il y a la ligne droite de Longchamp. Non
mais... Tsss... On oublie un peu vite tous les merdouillages de la
première mi-temps, avec un merveilleux enchaînement de 6 punts (en
comptant la première série du troisième quart)... Mwouais... Gets
a pass...
On
a déjà parlé de Bush, mais c'est toute l'attaque qui marchait
plutôt bien pendant une partie du match, en fait. Et, gros plaisir
pour un fan désabusé des 'Canes... Lamar Miller scored a freakin'
TD. Take a seat, Daniel Thomas. Yes, another wasted second round
pick, this time on a RB. #FireIreland.
Non,
Ryan, le monsieur, là, c'est Carson Palmer, pas Danny Boon...
Hey,
Brian Hartline, you're still playing ? Le receveur sort son
premier match à 100 yards depuis ma dernière cuite (eh oui,
Verchain ne boit plus) et ça fait plaisir, même si la première
passe de TD de Ryan T aura été pour Anthony Fasano...
Vraie
belle démonstration de la défense : si tu empêches McFadden
de courir (22 yards), tu as résolu une belle partie de l'équation
que te propose Oakland. Grosse performance aussi sur troisième
tentative, le Fish limitant les Long Johns à 1/12.
Uncle
Fester Likes This.
Enfin,
il faut rendre hommage aux équipes spéciales. Jetez un œil aux
positions de départ des drives des Raiders sur les punts des
Dolphins : 8, 7, 14, 18, 12, 20, 1, 20, 20, Mia 25, 30, 18.
Pouf... On aura même vu Dan Carpenter sortir un trick play, puntant
le ballon plutôt que tentant un field goal de 55 yards. Fantasy
owner cringed. Verchain cringed...
Ah,
j'avais presque oublié. Grande joie à la vue des starters de
Miami : at fullback, the freakin' Jorvorskie Lane. Funny first
name. Loved it.
Negatives
Pass
rush, anyone ? Zéro. Comme dans le nombre de sacks des Dolphins
sur ce match. Cela doit sans doute avoir un lien avec le fait que
l’ami Carson Palmer, qui a de plus en plus l’air d’avoir 55
ans, a lancé pour 373 yards.
Et
le tackling des Dolphins dans le champ ouvert n’est toujours pas au
niveau, avec par exemple l’action limite du cirque du TD de
Goodson, pour 64 yards…
Ah,
et ne nous laissons pas flouer par l’interception de Rashard Jones,
ma regrettée grand-mère l’aurait sans doute interceptée aussi,
cette passe.
WHAT
WAS THAT ???? Les cheerbabes des Dolphins mettent maintenant des
tenues aussi moisies que celles des Charger Girls ??? Fuck me…
Litterally, though…
Rendez-nous les uniformes
blancs !
CASA'S
CORNER
Dafuk ?
Any.
Given. Sunday. La réalité d’une semaine est rarement celle de la
suivante en NFL et les Patriots l’ont appris à leurs dépens ce
week-end avec une défaite, attention euphémisme, surprenante aux
mains des Cardinals de l’Arizona.
Vous
souvenez vous de la statalakon que j’avais donné au moment des
previews ? Et bien les Cardinals sont maintenant 9 & 1 sur
leurs dix derniers matchs, meilleur bilan de la ligue. Et cela avec
Kolb et Skelton comme Qbs…
5
point stance :
So,
where did it all go wrong for the Patriots ?
[*]
Losing Aaron Hernandez is a huge
blow :
En
se blessant dès le troisième snap offensif de la rencontre, pour
une durée estimée de 6 semaines, Aaron Hernandez a confirmé ce que
beaucoup savaient déjà depuis la saison dernière à savoir
que le TE est bel et bien le meilleur joueur offensif de cette
équipe. Peut-être encore plus que Gronk’ qui malgré un physique
encore plus impressionnant reste moins versatile que son coéquipier.
Hernandez est un véritable match-up nightmare donnant des insomnies
à l’ensemble des DC la ligue.
Sans
lui, l’attaque devient beaucoup plus lisible et prévisible et
l’illustration parfaite nous fut donnée dimanche après-midi.
L’équipe a semblé complètement perdue pendant plus de trois
quart-temps. Privés d’une grande majorité de ses formations avec
2 TEs, les Patriots sont apparus comme déstabilisés et sans réponse
traduisant peut-être un manque de préparation, très inhabituel
chez eux.
Contre
les Titans, l’intégralité des snaps offensifs furent joués avec
au moins 2 TEs. Ce chiffre est tombé à 19 (sur 79) ce dimanche.
Soudainement, la profondeur de l’équipe au poste devient
préoccupante ; Shiancoe est sur IR, Fells sur une jambe et
Hoomanawanui n’est pas un danger dans le
passing game et a montré d’importantes lacunes en bloquant.
[*]
And the Wes Welker saga continues :
Après
avoir vu son nombre de snaps gravement diminuer la semaine dernière,
Wes Welker a terminé meilleur receveur de l’équipe contre
Arizona ! Problème résolu ? Loin de là.
Premièrement,
Welker n’était pas titulaire lors des premières séries, Julian
Edelman lui étant préféré, et ne retrouva le terrain qu’après
la blessure d’Aaron Hernandez. Edelman est un joueur que j’apprécie
énormément tant il incarne le Patriots Way à la perfection mais il
est loin, très loin, d’être le slot receiver qu’est Welker et
cela s’est vu. #83 a réussi a insuffler un petit peu de vie à
l’escouade offensive après deux premières séries dramatiques et
termine donc meilleur receveur de l’équipe avec 5 réceptions pour
95 yards.
Alors
pourquoi Wes Welker est-il mis à l’écart ? Ce n’est pas
l’explication de Brady lundi sur WEEI qui va satisfaire notre
curiosité ; "It was just a
personnel grouping where he's not in the game”. Yeah right...
Comme les affaires de famille se règlent traditionnellement en
famille du côté de la Nouvelle Angleterre nous ne pouvons que
spéculer.
Et
je ne veux pas entendre qu’il ne s’agit que du résultat de la
situation contractuelle du joueur. Ou du moins je ne l’espère pas.
Bill Belichick est connu comme étant quelqu’un de très
pragmatique, faisant fi des statuts des joueurs et de leurs salaires
pour aligner la meilleure équipe possible. Et Welker prouve depuis
maintenant plus de 5 saisons que cette équipe est meilleure avec lui
sur le terrain (voir, Baltimore, 2009 et Arizona, 2012). Par
ailleurs, pourquoi avoir placer le franchise tag sur Welker, et donc
le payer près de 10 millions de dollars cette saison, si c’est
pour ne pas le mettre sur le terrain. Non, pour moi, il y a
indubitablement quelque chose que nous ne savons pas et que nous ne
saurons surement jamais.
Espérons
juste que cette situation se règle rapidement car les Patriots vont
maintenant avoir besoin de Welker encore plus qu’auparavant.
[*]
Defense carries the team... again :
Comme
la semaine dernière la défense a été très solide contre la
course et si l’on excepte ce long drive durant le troisième quart
qui permet à Arizona d’inscrire un TD, solide contre la passe
également, certes ce n’était que Kevin Kolb en face. A tel point
que New England affiche, après deux journées, la deuxième défense
le ligue, derrière Houston. Yup, you read that correctly.
Les
Patriots n’ont laissé que 68 yards en 26 portées mais seulement
51 yards en 25 si l’on exclue le run de Peterson depuis la Wildcat
Chandler soit un tout petit 2,04 yards par portée. Jones aura une
nouvelle fois été impressionnant avec notamment un nouveau forced
fumble tandis que Brandon Spikes confirme qu’il pourrait bien être
considéré comme l’uns des meilleurs LBs de la ligue à la fin de
la saison.
[*]
The Brady-to-Lloyd connection is still a
work in progress.
Après
le raté spectaculaire de la semaine dernière où un problème de
communication annule un TD certain, Lloyd et Brady ne sont une
nouvelle fois pas apparus sur la même page. L’ancien receveur de
St Louis termine avec 60 yards en 8 réceptions et a alterné le bon
(un superbe catch le long de la ligne en maintenant superbement ses
pieds sur le terrain pour 9 yards dans le quatrième quart) et le
beaucoup moins bon (un horrible drop sur le play suivant).
Plus
surprenant encore est l’usage qui a été fait de Lloyd durant ce
match. Signé durant l’intersaison pour combler le vide laissé par
Randy Moss et fournir enfin une menace sur l’extérieur,
l’essentiel de ses réceptions furent pour de petits gains sur des
routes en slant ou en post. Curieux, comme l’ensemble du play
calling durant ce match.
[*]
Questionable play calling :
C’est
pour moi le gros point noir de la rencontre. Les décisions prises
par le coaching staff de New England peuvent au mieux être
considérées comme discutables. Si l’on exclu le dernier drive qui
a lui seul est un condensé de bêtises, le play calling fut moisi
durant l’ensemble de l’après-midi.
Le
seul drive à peu près réussi de la journée fut justement le
dernier, celui qui aboutit sur le TD nullifié de Woodhead pour un
hold de Gronk que l’on qualifiera lui aussi de discutable et sur le
field goal Billy Cundiff-esque de Gostkowski. Ce fut également le
seul joué en no-huddle, la marque de fabrique de New England depuis
des années. Je comprends qu’il est parfois important d’installer
un jeu de course, surtout lorsque l’on est en face d’un front
seven de la qualité de celui d’Arizona. Mais pourquoi avoir
attendu si longtemps ?
De
manière plus générale, l’ensemble des décisions prises furent
incroyablement conservatrices. Dans un match à domicile. Against the
Arizona freakin’ Cardinals. J’ai notamment en tête un run
horrible de Woodhead sur un 3&20 qui fut reçu par les sifflets
mérités de Gilette. Yikes.
Et
il faut que Mc Daniels arrête d’appeler 25 screen pass par match.
That Ridley guy is good, but he’s no Kevin Faulk.
Closing
words :
Il
n’est pas encore temps de tirer la sonnette d’alarme. Surtout
après de nombreuses saisons régulières brillantes se terminant
prématurément en janvier. Autant évacuer les performances
anémiques en week 2. Ce match fut encore plus mauvais que les
précédentes défaites similaires, à Buffalo l’an dernier ou à
Cleveland il y a deux ans. Et il y a toujours ce sentiment que quand
les Patriots doivent perdre un match, ils doivent le faire autrement
que le reste de la ligue. Incapables de juste « manquer »
leur match et de se prendre une rouste comme tout le monde. Il faut
que ce soit douloureux, après un match au bout du suspense durant
lequel, malgré un performance atroce, ils restent dans le match
jusqu’au bout.
Le
match de dimanche vaut déjà très cher. Une défaite et le
diagnostic sera certainement plus sévère.
See
you next week, hopefully with a smile on my face.
SUNDAY,
PURPLE SUNDAY
C’est
parti pour la première fournée du « Purple Sunday »,
chronique hautement subjective sur le match du week end des Ravens de
Baltimore, qui essaiera de revenir régulièrement en fonction de mon
emploi du temps (eh oui, chroniqueur sur The Inc. ça paye pas…)
Pour
ce qui est du format, rien de bien novateur, puisque le changement
c’est pas pour tout de suite apparemment, on restera donc sur un
classique mais efficace « Positives / Negatives », suivi
d’un coup de gueule perso sur ce qui m’a déplu (ou plu ça
dépend) pour finaliser tout ça…
Sooo
here we go braves gens !!
Tout
d’abord quelques stats pour illustrer ce match : 35 min de
possession pour 486 yards et 26 first downs pour les Eagles contre 25
min pour 325 yards et 17 first downs pour les Ravens, n’en jetez
plus la coupe est pleine. Dans ces conditions, difficile de remporter
un match de football, surtout quand un troisième facteur vient
mettre son grain de sel la dedans, mais j’en reparlerai plus bas.
Mis
à part ça, as usual avec les Ravens : un premier match ou ils
s’amusent à démonter un rival de division suivi d’un deuxième
match tout pourri ou l’équipe prend l’eau de partout et repart
avec des doutes plein la tête (et leurs fans avec par la même
occasion). Tiens donc ça me rappel quelque chose… A croire que
cette équipe est frappée du sceau de l’inconstance, triste pour
des joueurs comme Lewis ou Reed qui vivent là leur probable dernière
saison dans la ligue.
Positives :
- Special team : 56 (record de franchise égalé), 51 et 48 yards pour leur jeune kicker Tucker, c’est du tout bon, au moins lui saura mettre le cuir entre les poteaux contre New-England… Sam Koch (Punter) et sa jambe droite de feu avec ses 50 yards de moyenne par punt, et un joli retour de kickoff de Thomson pour 50 yards.
- Ray Rice : Encore une fois la meilleure arme offensive de Baltimore, 152 yards en cumulé, 99 yards au sol en seulement 16 portés (soit 6.2 yards / porté). Oui oui vous avez bien lu : 16 portés. Assez impensable avec un joueur de son talent, surtout quand vous avez un déblayeur comme Leach en FB et un G comme Yanda capable d’ouvrir des gaps aussi gros que le cul de J-Lo… M’enfin…
- La ligne offensive a fait son job, s’est évertuée à donner du temps à Flacco et à le protéger du féroce pass-rush des Eagles, mais surtout a été énorme dans l’ouverture de brèche pour Little Ray. Rassurant.
- La 1ère mi-temps de Joe Flacco, parce que mine de rien tout n’est pas à jeter dans sa performance. Sur les premières 30min, c’était le Flacco du week 1, calme et sur dans la poche, dirigeant sa no-huddle offense avec brio et prenant les bonnes décisions comme cette merveille de passe qui envoie Jones au TD (au passage Asomugha semble avoir laissé son talent du côté d’Oakland). Mais ça c’était seulement sur 30min…
Negatives :
- La deuxième mi-temps de Flacco : Je sais pas ce mec doit être bi-polaire, avec cette capacité folle de changer de comportement en 10min… Sur les 30 dernières minutes c’était le Flacco de 2011, imprécis, cherchant le big play à chaque snap ou presque, envoyant une passe WTF à Pitta qui est en triple couverture. Résultat : Pick bien entendue. Série offensive des Ravens en 3ème QT : Interception, punt, punt et punt… ‘Nuff said !
Au
final : 22/42 230 Yards 1TD/1int pour 66.8 de rating… Elite QB
qu’il disait...Yeah !!
- Mais Joe n’est pas le seul à blâmer dans la gabegie offensive de la 2ème MT, et dans le rôle d’Averell (vous savez le grand tout idiot), je vous présente Cam Cameron, OC spécialiste du play à la con sur les 3èmes et 4èmes tentatives, et responsable de l’arrêt de la no-huddle en seconde mi-temps… Pitre.
- La défense tout entière est à blâmer. Bien sur 4 turnovers ont été créés mais c’est plus par le talent pur de gars comme Reed ou Lewis, que par le bon fonctionnement de la défense. Je reste persuadé que Pees (DC) n’est pas l’homme de la situation et qu’il a sorti un plan de jeu tout moisi contre les Eagles, n’envoyant pas assez de blitz sur Vick, lui laissant tout le temps de trouver un receveur libre… Le résultat : 486 yards dans les gencives… Ouch !!
The
« Coup de gueule » of the week :
Il
y a pas à dire, les remplaçants ça vaut pas les titulaires. Ben
pour les Refs c’est pareil.
Voici
trois décisions qui ont retenu mon attention (toutes contre mes
Ravens bien entendu) :
- La 1ère : Milieu de 4ème QT, Flacco lance sur Torrey Smith en endzone, qui préalablement s'est défait du marquage man-to-man d’Asomugha. Ce dernier se voyant dépassé, trouve le moyen d’agripper le jersey de Smith, mouchoir jaune, « Illegal contact ». Sauf que mon bon monsieur, lorsque la balle est en l’air lors d’un « illegal contact », ça donne une « Pass interference ». Cette dernière étant commis en endzone, c’est balle sur les 1 yard des Eagles. Et bien non rien de tout ça.
- La 2ème : 3 minutes à jouer dans le dernier QT, balle aux Ravens. Flacco lance profond sur Jones couvert par Asomugha (encore lui, dans tous les bons coups…). He made the catch, TD Baltimore pour donner 10 points d’avance. Sauf que un mouchoir jaune tombe d’on ne sait où, « Offensive pass interference »… Mais bien sur… Résultat : Field Goal de 48 yards.
- Enfin la 3ème : 1min30 à jouer dans le dernier QT toujours, balle sur les 3 yards de Baltimore. Vick joue la play-action, se fait prendre par Ngata, essaye de pousser le cuir, fumble recouvert par les Ravens, game-over… Sauf que le jeu est revue, la possession retournée pour « incomplete forward pass ». Child please… La suite on la connait, TD de Vick pour sceller la victoire des Eagles. (Verchain's Note : le jugement sur cette action, et la fameuse tuck rule, a été bien appliqué, selon ce que j'ai vu, le bras de Vick fait bien le mouvement vers l'avant... Mais bon, quand on est fan, je comprends que ça perturbe...)
Au
final 3 décisions litigieuses qui aurait probablement changé le
cours du match.
Voilà
c’est tout pour aujourd’hui, à la semaine prochaine.
NEXT WEEK
(ON TV)
Dès
jeudi, les premiers adversaires des Buccaneers pourront se départager
lorsque les Giants se rendront à Charlotte pour défier les
Panthers.
Dans
les matchs de 19h de dimanche, je ne manquerai pas New Jersey Jets à
Miami… Sinon, il y aura Bengals at Redskins et Jaguars at Colts, eh
oui… Sinon, vous pouvez aussi ouvrir le gaz…
Dans
les matchs d’après 22h, les Eagles se rendent à Phoenix affronter
les Cardinals, et les Texans prennent de la hauteur du côté de
Denver.
Le
Sunday Night Football sera un gros match qui mettra aux prises deux
équipes qui ne veulent pas connaître un début de saison à 1-2,
les Patriots à Baltimore.
Le
Monday Night Football nous offrira Modern Football (Green Bay) versus
Old Fart Football (Seattle).
CHEERLEADERS
C'est tout pour aujourd'hui, alors...
Les capsules ESPN sur le rubiskcub (?) c'est le mal ! On en viendrait presque à demander de la pub.
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