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mardi 18 septembre 2012

Verchain's Takes - Week Two




VERCHAIN'S TAKES : WEEK TWO

Bang. Une semaine, et un bon gros paquet de nos certitudes fondées sur la première semaine de compétition se retrouvent refoulées au rang de doutes affreux, pour certains, ou jubilatoires, pour d'autres.

Voici, en quelques lignes, les Verchain's Takes de la semaine, avec les choses qui ont intéressé votre serviteur cette semaine, avec le Casa's Corner également qui reviendra sur l'une des grosses désillusions de la semaine, et un nouveau featuring qui deviendra peut-être régulier, le 'Sunday Purple Sunday' de l'ami Ludovic.

Lecteurs, n'hésitez pas à soumettre vos collaborations, mon APPEL AU PEUPLE est en vigueur pour toute la saison... Et moins j'en fais, mieux je me porte (en fait, je peux passer plus de temps à mater Kate Upton sur Internet).

Here we go...


SCORES




STATS




STANDINGS






VERCHAIN'S TAKES

Eli = Elite ?

Great players make big plays in big games. Et surtout, ils sortent la grosse artillerie quand ça compte vraiment. Alors que j'étais sur le point de noter dans mon petit cahier qui m'accompagne à chaque fois que je me pose devant un match que la défense des Buccaneers avait vraiment franchi le pas, bang, Eli nous sort le TD longue distance en direction de Victor Salsa Cruz.

Un début de match furieusement 2010, avec trois interceptions. Juste avant que Manning n'embarque son équipe sur ses épaules, un peu contraint il est vrai par la blessure de Bradshaw et l'ampleur du score. Pour finir avec 510 yards lancés, 3TD. Un total de 604 yards en attaque pour Big Blue, deuxième meilleure performance de tous les temps pour l'équipe. Et une vraie fin de match enthousiasmante contre des Bucs qui refusaient de mourir, revenant au score juste après le temps mort des deux minutes.

On peut comprendre la frustration des jeunes Bucs, ce qui les a poussés à dépasser les bornes des limites :





Ce qui nous a permis d'assister à la version East Coast du Handshake Bowl qui n'allait finalement pas avoir lieu, comme la guerre de Troie. Avec Tom Coughlin dans sa meilleure imitation de Harbaugh West.




Whatever, Greg Schiano est pour le moment la plus belle réussite des nouveaux coaches de l'année. Il a infusé une sorte d'attitude dans son équipe, et notamment dans sa défense, même si cette dernière s'est faite torpiller lorsqu'elle n'aurait pas du. Mais bon...

Flacco = Fiasco !

Elite, qu'il disait... (read more below). Pitre, oui. Certes, Flacco n'est pas toujours aidé par les choix bizarres de Cam Cameron, qui croit sans doute qu'il est encore head coach des Dolphins, une équipe qui ne sait plus courir depuis... Enfin, depuis avant dimanche.

Flacco, sorti des rangs universitaires la même année que Matty Ice Ryan, qui connaît des meltdowns à répétition tous les ans. Flacco, qui a totalement disparu de la circulation en deuxième mi-temps contre les Eagles, avec des Ravens qui ont totalement abandonné la course, ne remettant pas leur destin entre les mains de leur meilleur joueur, Ray Rice. 8/26, voilà la stat, et en comptant bien évidemment les third downs non transformés avec un yard à parcourir...

Flacco = Fiasco !

Tiens, en parlant des Eagles, ma prédiction de les voir élever leur niveau contre les grosses équipes et abaisser le niveau contre les équipes plus faibles semble se vérifier. En attendant, remporter deux matchs en totalisant 9 pertes de balle, avec un Mike Vick capable de merder pendant tout le match avant de sortir le drive qui va bien pour faire passer son équipe devant, j'appelle ça marcher sur la corde raide.

Our weekly 'Fuck that, those are the same old fashionned Niners' Item.

Et c'est reparti pour un tour. Quel grand QB que cet Alex Smith. Stop bullshitting us, media ! Oh, certes, je conçois que personne ne veut croiser la route de Harbaugh West et son orchestre en ce moment, mais cela a comme d'habitude plus à voir avec la défense toujours aussi solide (qui aura mis hors de position Calvin Johnson pendant une bonne partie du match) et le jeu de course façon smashmouth qu'avec l'ancien first overall pick.

Comme pas mal de QB vedettes de college qui sont partis en torche chez les pros, Alex Smith n'est rien de plus aujourd'hui qu'un caretaker, un gestionnaire, qui pense d'abord à ne pas perdre le ballon. 5,9 yards par passe tentée, ça vous fait rêver ? 31 passes tentées pour 27 courses appelées, c'est un jeu conservateur. Certes, ça marche. So what ? De quoi tresser des couronnes à Smith ? Stop bullshitting us ! Cible principale ? Vernon Davis, comme l'an passé.

Alex Smith, c'est le Trent Dilfer de 2000 chez les Ravens. Ni plus, ni moins. Et même si Dilfer a lancé le TD victorieux au seul Superbowl remporté par les Ravens, personne ne se souvient de lui comme d'un QB titré. Et pourtant, à mon grand regret, le Old Man Football pourrait bien triompher cette année, en février. Le pire cadeau d'anniversaire qu'on puisse me faire.

Tiens, en passant, le Handshake Bowl n'a pas eu lieu. Merci à Jim Schwartz, qui a montré qui était le brave type dans le duo, en se précipitant avant le match pour aller serrer la pince de Harbaugh West.

The Panic Bowl is set up. Tune in on Sunday, September 23. 1PM.

Chiefs at Saints. Ou l'affrontement de deux équipes qui doivent sérieusement songer à sauter à pieds joints sur le bouton 'Panic', dès maintenant.

Les Chiefs d'abord. Un paquet de noms en défense. Tout ça pour se faire démonter par CJ Spiller et les Bills ce dernier dimanche. Domination totale de Buffalo. Les Chiefs offrent des big plays à leurs adversaires, et semblent perpétuellement en retard sur toutes les actions adverses. Incapables de se séparer des blocks adverses, avec des tackles manqués par tombereaux, et donc incapables d'arrêter correctement la course, une semaine après avoir été démolis par les airs aux mains des Falcons.

L'attaque n'est pas beaucoup mieux. Les touchdowns sont tombés lorsque le match était déjà entendu. Comme les stats. 4 punts de suite, et deux fumbles. Voilà pour le total de la première mi-temps. Jamal Charles est totalement inexistant depuis son retour de blessure. La ligne offensive est plus que perméable à l'intérieur, avec 4 sacks concédés aux DT des Bills. Les temps sont moroses.

Et les Saints, ensuite. Qu'on donne maintenant le titre de coach of the year à Sean Payton. Sa seule absence pourrait suffire à expliquer le manque d'implication en attaque, avec des routes bizarrement parcourues par les receveurs, et une ligne offensive où Carl Nicks manque cruellement. Pour battre les Saints en ce moment, c'est 'simple'. Pas besoin d'envoyer 6 gus au blitz. Perturber tant que possible les receveurs en les repoussant dans les 5 yards, couvrir en zone, et laisser la ligne défensive bousculer la ligne offensive des Saints. Brees privé de solutions, ce sont des passes flottantes (6,6 yards par passe, l'un des plus faibles totaux de sa carrière), et surtout des interceptions lancées à un rythme Sanchézien (4 en deux matchs, contre 14 sur toute la saison passée). Au sol, Pierre Thomas a gentiment fait illusion avec une grosse course de 48 yards et une moyenne respectable, mais Mark Ingram a un mal de chien à faire la différence (3,1 ypc contre les Panthers...). Même Jimmy Graham ne semble pas bien dans ses baskets...

Mais, pire que tout, c'est la défense qui fout les jetons. Elle a l'air d'avoir du mal contre les attaques universitaires (encore un TD encaissé sur une bonne vieille zone read à la Urban Meyer). Mais elle laisse aussi aboutir des jeux de passe qui ne devraient jamais arriver. Une passe de Cam Newton pour 66 yards à Steve Smith, avec pas un seul défenseur visible à l'écran. Tout seul. Busted coverage. Idem contre la course, avec 219 yards laissés aux Panthers qui sont donc revenus à leur bon vieux gameplan run heavy. Finalement, cette histoire de prime sur les attaquants adverses, ça ne marchait pas si mal que ça... Avec 75 points encaissés en deux matchs, là aussi, les temps sont moroses...

Bref, le perdant du prochain match sera dans une situation peu enviable de voir la saison déjà quasiment terminée. Oui, je sais, il est encore tôt, mais le réveil ne doit pas sonner trop tard.

Adventures in officiating

Autant l'ensemble des commentateurs avait été plutôt sympa avec les arbitres intérimaires la semaine passée, autant les motifs de désolation tant du côté des fans que des joueurs et coaches semblent avoir pris le pas cette semaine. Les arbitres font partie du jeu, mais... Mais même Aaron Rodgers se plaint...

  • Un arbitre a été changé à la dernière minute avant le match entre les Saints et les Panthers car ce monsieur, Brian Stropolo, s'affiche sur Facebook comme un fan des Saints.
  • Jeff Sardorus arbitrait la semaine passée à Phoenix lors du match contre les Seahawks. On a appris depuis que le monsieur avait été payé par le Blue Men Group de Seattle pour arbitrer durant des séances d'entraînement de l'équipe... Pete Carroll se croit toujours à USC...
  • Les matchs choisis par ESPN America à 19 h à chacune des deux premières semaines de compétition ont été d'une insupportable longueur, avec des prises de décision à rallonge. Plus de 3h30 à revoir les mêmes vignettes de E:60 qui parlent de concours de Rubik's Cube, c'est juste insupportable.
  • On n'est pas passés bien loin d'une baston générale sur le match entre Baltimore et Philly, avec des officiels qui oublient d'éjecter notamment MeSean Jackson...
  • Le GIF de la semaine (see below) vous montre un play affreux laissé sans sanction par les refs, alors qu'un défenseur des Cowboys a été sanctionné pour brutalité sans avoir touché Russell Wilson qui courait en dehors du terrain...
  • Les Pats peuvent hurler au scandale, un TD de Danny Woodhead ayant été annulé pour un holding inexistant de Gronk...

Bref, il est temps que ça cesse. Ou que ça continue, parce que je me marre bien quand...

Stuff like this happens...



Yeah, glamecock...


Randomize my Takes !

  • So, New Jersey ? Still boasting like morons ? I guess not... Fini, le ridicule talk autour des Jets, de Mark Sanchez et de sa magnificence au poste de QB. Voilà ce que ça fait, de croiser une vraie belle défense, pourtant privée de deux de ses meilleurs vieux (Taz et Harrison).


  • Mes excuses pour avoir sous-estimé la défense des Cardinals. Limiter ainsi les Pats, peu de monde aura été capable de le faire. En vedette, Calais Campbell et Darnell Fart Box Dockett, sans oublier Patrick Peterson, qui ajoute en plus un rayon 'Wildcat QB' à sa bibliothèque.

  • Et le camarade Kolb pourra s'aligner comme starter la semaine prochaine face à l'équipe qui l'a envoyé dans le désert de l'Arizona... So long, John Skelton...

  • In case you didn't notice : Arizona en est à 9 victoires sur ses 11 derniers matchs. Comme les Packers, tiens...

  • Sam Bradford m'avait bien plu la semaine passée contre les Lions. Et a confirmé avec une performance solide contre les Redskins qui avaient bien harcelé Drew Brees la semaine passée. Danny Amendola se transforme en receveur le plus ciblé de l'effectif (15 catches). Peu attendu... En attendant, avec Jeff Fisher, les Rams se transforment tranquillement en une équipe solide, qu'il faut bouger pour battre. Tout le contraire de la triste troupe de la saison passée. C'est déjà une forme de victoire. Hey, les quatre équipes de la NFC Waste ont gagné, ce weekend...

  • Blaine Gabbert. LOL, comme disent les jeunes... Toujours aussi pitresque. 7/19, 53 yards (dont 13 en première mi-temps), 1 TD, et la furieuse volonté de ne pas le laisser trop souvent lancer le ballon. 14 courses pour 21 passes au total, parce qu'on a vu un revenant...

  • Hé, Chad Henne ! Perfect on the day. 2/2. Quarterback controversy !

  • La défense des Texans est exceptionnelle contre les attaques merdouilleuses de Floride. Prochain vrai test : Peyton !

  • Ouais, même si Peyton était bon dans son imitation d'Eli 2010, avec ses trois interceptions contre les Falcons...

  • Philip Rivers : 6-0 contre les Titans. Dante Rosario. 4 réceptions sous le maillot des Chargers. 3 TD.

  • Oh, rien sur les Packers ? Sans doute parce que depuis vendredi matin, je me sens un peu comme Steve Mariucci...





RUNNING ITEMS

Your rookie Quarterbacks review :

Cette saison, nous suivrons tant que ça en vaudra le coup les performances des nouveaux quarterbacks. Des fortunes diverses cette semaine, individuellement ou collectivement...


Robert Griffin 3, la vengeance. (1-1)

L'attaque universitaire, ça fonctionne toujours, avec cette semaine 2 TD à la course, dont un sur un set en pistol du plus bel effet. Wolfpack style. Première interception de la saison. Les Redskins sont heureux de l'avoir sélectionné, tout ça... En attendant, beaucoup de hype, mais pas de victoire pour les Redskins cette semaine, et des jours qui s'annoncent plus compliqués maintenant que Shanny and friends ont perdu Brian Orakpo et Adam Carriker, deux éléments très importants de la défense.

La ligne de stats :

Dimanche : 20/29, 206 yards, 1TD, 1INT, 82 rush yards en 11 courses, 2TD.
Saison : 526 yards à 39/55, 3TD, 1INT, 124 rush yards, 2TD.

L'appréciation : Still buzzing. A lot like Cam Newton...


Andrew Luck, la main froide. (1-1)

Et Luck a finalement eu son premier 'moment' en carrière. Drive final : 20 yards vers Avery, 20 yards vers Reggie Wayne, hors jeu des Vikings, field goal de Vinatieri. Winning !

La ligne de stats :

Dimanche : 20/31, 224 yards, 2TD, 21 rush yards en 4 courses.
Saison : 533 yards à 43/76, 3TD, 3INT. 30 rush yards.

L'appréciation : Demeure selon moi le meilleur passeur de la troupe. QB à l'ancienne. Beaucoup plus mon type de joueur que Griffin. Moins de big plays, plus de jeux dans une attaque pro sans variation universitaire alakon. Aura des difficultés, mais saura au moins quoi faire contre les équipes assez médiocres pour ne pas être meilleures que les Colts.


Ryan Tannehill, we still want more Lauren (1-1)



La ligne de stats :

Dimanche : 18/30, 200 yards, 1 passe de TD, 14 yards au sol en trois courses, 1TD
Saison : 419 yards à 38/66, 1 passing TD, 3 INT, 13 rush yards, 1TD.

L'appréciation : Un bon petit match contre de tristes Raiders, un match complètement ridicule contre la défense des Texans, qui semble d'un autre calibre.



Russell Wilson , little big man. (1-1)

Première victoire pour les Seahawks, avec une petite contribution du QB. Pas de quoi écrire à ses parents.

La ligne de stats :

Dimanche : 15/20, 151 yards, 1TD. 28 yards en 4 courses.
Saison : 304 yards à 33/54, 2TD, 1INT, 48 rush yards.

L'appréciation : The jury is still out. Takes care of the football when the run game is on. Can't win by himself.


Brandon Weeden, old man football. (0-2)

Need comment ?

La ligne de stats :

Dimanche : 26/37, 322 yards, 2TD, 6 yards en 2 courses.
Saison : 440 yards à 38/72, 2TD , 4INT, 31 rush yards.

L'appréciation :

Au moins, les Browns ont semble-t-il fait un meilleur choix avec leur premier choix du premier tour de la dernière draft...





Amazing Passing Numbers :

Pour espérer battre le record de yards en saison, 5476 yards par Drew Brees l'an passé, il faut lancer une moyenne de 342,25 yards par match. Pour le moment dans le concours, nous trouvons :

  • Eli Manning, avec 723 yards en deux matchs, soit une projection à 5784.
  • Mike Vick, avec 688 yards, soit une projection à 5504 yards (et heureusement pour Mike Doggy Dog qu’on ne compte pas les yards de retour d’interception)…

Sack Me I’m Famous :

Maintenant que nous avons deux matchs dans la valise (ce qui change tout du fait de n’avoir qu’un match dans la valise), nous pouvons nous pencher sur les quarterbacks qui ont le plus de chances de se faire décapiter en live à la télé.

J’emploie à dessein le concept de ‘pires’ et de ‘meilleures’ lignes offensives uniquement dans une catégorie statistique : les sacks. Parce que la passe est l’avenir du football.

Rappelons à toute fin utile que l’an passé, ce sont les Rams qui ont dominé le bazar avec 55 sacks encaissés, alors que la ligne des Bills n’a laissé passer que 23 sacks sur Fitzy, ce qui ne l’a pas empêché de lancer un paquet d’interceptions…

Les deux pires lignes offensives sont :

  • Les Bengals avec 10 sacks, soit potentiellement 80 takedowns sur 16 matchs, et 3 membres arrachés pour le rouquemoute Andy Dalton.
  • Les Bears avec 9 sacks, soit potentiellement 72 sacks encaissés par Jay Cutler, qui pourrait bien avoir un peu de temps pour pouponner.

Les deux meilleures lignes offensives sont :

  • Les Bills, toujours présents et avec aucun sack. Take this, Rexy.
  • Les Falcons, Jets, Titans, Texans suivent avec deux petits sacks...


Pitre of the Week : Josh Morgan, WR, Washington Redskins.



Bien vu, pitre. Certes, en face de toi, tu avais Cortland Finnegan, une vraie belle salope comme on n'en trouve plus que dans les clubs les plus célèbres de la capitale, mais là... un bon petit pétage de plombs en direct sous les yeux de l'arbitre, 15 yards de pénalité, et un field goal qui aurait pu permettre aux Redskins d'égaliser, et voilà que tu nous amènes un des WTF moments de la semaine : Shanny qui décide d'envoyer Billy Cundiff (LULZ) pour un field goal de... 62 yards... Héhé... There were people smiling in Baltimore. Smiles among cries...

A player I liked : CJ Spiller, RB, Buffalo Bills.

Forget about Ray Rice, Adrian Peterson or whatever... CJ Spiller est la révélation de ce début de saison. Oui, Verchain a ce joueur dans sa fantasy team. Oui, Verchain avait parié sur une blessure de l'ami Fred Jackson au moment de sélectionner le joueur. Oui, Spiller a rapporté sa trentaine de points à la Team Verchain. Oui, Verchain a encore perdu et en est encore à 0-2. Oui, Verchain est nul à ce jeu, parce qu'il a trop tendance à prendre des joueurs de football et pas des statistiques dans sa draft et ses trades. Mais Verchain a Aaron Rodgers.



Spiller aura mis du temps avant de devenir le coureur décisif qu'il est sur les deux premières semaines de compétition. Sorti en 9 de la draft chez les Bills, il n'aura été pour ses débuts qu'un simple third down back, ayant un peu de mal à faire la transition depuis la spread de Clemson vers le jeu pro. Mais le garçon, qui ne fait pas parler de lui ou presque en dehors du terrain, s'est attelé à la tâche. Et il a assez d'humilité pour mettre ses bonnes performances récentes sur le compte de sa ligne offensive et sur son bon travail de présaison. Et, ici, on aime les skill position players qui pensent aux gros morceaux de viande qui leur ouvrent la voie...

En tout cas, Chan Gailey semble avoir trouvé le moyen de protéger Ryan Fitzpatrick : limiter au maximum le recours au jeu de passes, établir la course. Bref, c'est la recette qui marche quand on n'a pas le QB pour porter son équipe (see, Tannehill, Ryan...).

Tiens, par exemple, un autre numéro 28 en est à 21 yards cette saison. Et à la moyenne à 2,1 ypc. L'autre CJ, notre joueur préféré de la semaine, en est à plus de 10 yards par porté. Ça ne va pas durer, mais tant que ça marche, on sera heureux dans la Bills Mafia.


GIF of the Week :





Et dire que c'est tout à fait le genre de plays qu'on reprochait à Hines Ward dans le temps. Et là, pour un peu, on glorifierait Golden Tate pour ce block totalement illégal. Bad Boy !


The rush to April’s Draft :

Tsss, les Colts lâchent une défaite précieuse à domicile contre les Vikings, qui se sont montrés une nouvelle fois bien méritants, et se relancent dans la course tout en restant à distance respectable de nos beaux leaders de Jacksonville, merveilleux d'ineptitude offensive contre les Texans. Kansas City pourrait bien être un candidat sérieux pour le titre.

Le classement :

  1. Jacksonville (0-2)
  2. Kansas City (0-2)
  3. Oakland (0-2)
  4. Cleveland (0-2)
  5. Tennessee (0-2)

Stay tuned.

THE MIAMI DOLPHINS ARE A GREAT REASON TO :
BE HAPPY/BORED/DEPRESSED OR GO KILL YOURSELF...


Ladies and gentlemen, your Miami Dolphins are actually ranked first in the AFC East, at 1-1. Yes, like the Patriots. And Jets. And Bills. En attendant, Miami aura donc été leader de division une fois dans la saison, et au bout de la deuxième semaine de compétition, dites...

Didn't see it coming (That's what she said).

Allez, petit résumé rapide :

Player of the Week : Reggie ‘I used to fuck a fat bitch named Kardashian’ Bush, Running Back.

Unstoppable.




Explosion de Reggie Bush contre les Raiders : 172 yards au sol et 25 en réception, 2TD, avec une charge de travail record de 26 portés. Boum, boum. Ça partait dans tous les sens, pour une moyenne de 6,6 ypc. Reggie Bush qui devient bon sur ses vieux jours... Abeulibeubol.

Positives




A good ol' naked bootleg. Le premier touchdown chez les pros de Ryan Tannehill. Après une première semaine misérable, les pires prophètes à deux balles qui te transforment un rookie en futur grand sur la base d'une seule performance contre une défense d'Oakland qui m'a semblé être totalement à côté de ses pompes se sont déjà mis en route. Quel futur grand joueur. Ahem... Certes, la ligne de stats de Tannehill est aussi satisfaisante que les mensurations de Lauren (200 yards à 18/30, 1TD pass, 1 rushing TD, O INT, 1 sack), mais de là à considérer que cette victoire repose sur les épaules du QB, il y a la ligne droite de Longchamp. Non mais... Tsss... On oublie un peu vite tous les merdouillages de la première mi-temps, avec un merveilleux enchaînement de 6 punts (en comptant la première série du troisième quart)... Mwouais... Gets a pass...



On a déjà parlé de Bush, mais c'est toute l'attaque qui marchait plutôt bien pendant une partie du match, en fait. Et, gros plaisir pour un fan désabusé des 'Canes... Lamar Miller scored a freakin' TD. Take a seat, Daniel Thomas. Yes, another wasted second round pick, this time on a RB. #FireIreland.


Non, Ryan, le monsieur, là, c'est Carson Palmer, pas Danny Boon...

Hey, Brian Hartline, you're still playing ? Le receveur sort son premier match à 100 yards depuis ma dernière cuite (eh oui, Verchain ne boit plus) et ça fait plaisir, même si la première passe de TD de Ryan T aura été pour Anthony Fasano...

Vraie belle démonstration de la défense : si tu empêches McFadden de courir (22 yards), tu as résolu une belle partie de l'équation que te propose Oakland. Grosse performance aussi sur troisième tentative, le Fish limitant les Long Johns à 1/12.


Uncle Fester Likes This.

Enfin, il faut rendre hommage aux équipes spéciales. Jetez un œil aux positions de départ des drives des Raiders sur les punts des Dolphins : 8, 7, 14, 18, 12, 20, 1, 20, 20, Mia 25, 30, 18. Pouf... On aura même vu Dan Carpenter sortir un trick play, puntant le ballon plutôt que tentant un field goal de 55 yards. Fantasy owner cringed. Verchain cringed...

Ah, j'avais presque oublié. Grande joie à la vue des starters de Miami : at fullback, the freakin' Jorvorskie Lane. Funny first name. Loved it.

Negatives

Pass rush, anyone ? Zéro. Comme dans le nombre de sacks des Dolphins sur ce match. Cela doit sans doute avoir un lien avec le fait que l’ami Carson Palmer, qui a de plus en plus l’air d’avoir 55 ans, a lancé pour 373 yards.

Et le tackling des Dolphins dans le champ ouvert n’est toujours pas au niveau, avec par exemple l’action limite du cirque du TD de Goodson, pour 64 yards…



Ah, et ne nous laissons pas flouer par l’interception de Rashard Jones, ma regrettée grand-mère l’aurait sans doute interceptée aussi, cette passe.

WHAT WAS THAT ???? Les cheerbabes des Dolphins mettent maintenant des tenues aussi moisies que celles des Charger Girls ??? Fuck me… Litterally, though…



Rendez-nous les uniformes blancs !



CASA'S CORNER

Dafuk ?


Any. Given. Sunday. La réalité d’une semaine est rarement celle de la suivante en NFL et les Patriots l’ont appris à leurs dépens ce week-end avec une défaite, attention euphémisme, surprenante aux mains des Cardinals de l’Arizona.

Vous souvenez vous de la statalakon que j’avais donné au moment des previews ? Et bien les Cardinals sont maintenant 9 & 1 sur leurs dix derniers matchs, meilleur bilan de la ligue. Et cela avec Kolb et Skelton comme Qbs…

5 point stance :

So, where did it all go wrong for the Patriots ?

[*] Losing Aaron Hernandez is a huge blow :

En se blessant dès le troisième snap offensif de la rencontre, pour une durée estimée de 6 semaines, Aaron Hernandez a confirmé ce que beaucoup savaient déjà depuis la saison dernière à savoir que le TE est bel et bien le meilleur joueur offensif de cette équipe. Peut-être encore plus que Gronk’ qui malgré un physique encore plus impressionnant reste moins versatile que son coéquipier. Hernandez est un véritable match-up nightmare donnant des insomnies à l’ensemble des DC la ligue.

Sans lui, l’attaque devient beaucoup plus lisible et prévisible et l’illustration parfaite nous fut donnée dimanche après-midi. L’équipe a semblé complètement perdue pendant plus de trois quart-temps. Privés d’une grande majorité de ses formations avec 2 TEs, les Patriots sont apparus comme déstabilisés et sans réponse traduisant peut-être un manque de préparation, très inhabituel chez eux.

Contre les Titans, l’intégralité des snaps offensifs furent joués avec au moins 2 TEs. Ce chiffre est tombé à 19 (sur 79) ce dimanche. Soudainement, la profondeur de l’équipe au poste devient préoccupante ; Shiancoe est sur IR, Fells sur une jambe et Hoomanawanui n’est pas un danger dans le passing game et a montré d’importantes lacunes en bloquant.

[*] And the Wes Welker saga continues :

Après avoir vu son nombre de snaps gravement diminuer la semaine dernière, Wes Welker a terminé meilleur receveur de l’équipe contre Arizona ! Problème résolu ? Loin de là.

Premièrement, Welker n’était pas titulaire lors des premières séries, Julian Edelman lui étant préféré, et ne retrouva le terrain qu’après la blessure d’Aaron Hernandez. Edelman est un joueur que j’apprécie énormément tant il incarne le Patriots Way à la perfection mais il est loin, très loin, d’être le slot receiver qu’est Welker et cela s’est vu. #83 a réussi a insuffler un petit peu de vie à l’escouade offensive après deux premières séries dramatiques et termine donc meilleur receveur de l’équipe avec 5 réceptions pour 95 yards.

Alors pourquoi Wes Welker est-il mis à l’écart ? Ce n’est pas l’explication de Brady lundi sur WEEI qui va satisfaire notre curiosité ; "It was just a personnel grouping where he's not in the game”. Yeah right... Comme les affaires de famille se règlent traditionnellement en famille du côté de la Nouvelle Angleterre nous ne pouvons que spéculer.

Et je ne veux pas entendre qu’il ne s’agit que du résultat de la situation contractuelle du joueur. Ou du moins je ne l’espère pas. Bill Belichick est connu comme étant quelqu’un de très pragmatique, faisant fi des statuts des joueurs et de leurs salaires pour aligner la meilleure équipe possible. Et Welker prouve depuis maintenant plus de 5 saisons que cette équipe est meilleure avec lui sur le terrain (voir, Baltimore, 2009 et Arizona, 2012). Par ailleurs, pourquoi avoir placer le franchise tag sur Welker, et donc le payer près de 10 millions de dollars cette saison, si c’est pour ne pas le mettre sur le terrain. Non, pour moi, il y a indubitablement quelque chose que nous ne savons pas et que nous ne saurons surement jamais.

Espérons juste que cette situation se règle rapidement car les Patriots vont maintenant avoir besoin de Welker encore plus qu’auparavant.

[*] Defense carries the team... again :

Comme la semaine dernière la défense a été très solide contre la course et si l’on excepte ce long drive durant le troisième quart qui permet à Arizona d’inscrire un TD, solide contre la passe également, certes ce n’était que Kevin Kolb en face. A tel point que New England affiche, après deux journées, la deuxième défense le ligue, derrière Houston. Yup, you read that correctly.

Les Patriots n’ont laissé que 68 yards en 26 portées mais seulement 51 yards en 25 si l’on exclue le run de Peterson depuis la Wildcat Chandler soit un tout petit 2,04 yards par portée. Jones aura une nouvelle fois été impressionnant avec notamment un nouveau forced fumble tandis que Brandon Spikes confirme qu’il pourrait bien être considéré comme l’uns des meilleurs LBs de la ligue à la fin de la saison.

[*] The Brady-to-Lloyd connection is still a work in progress.

Après le raté spectaculaire de la semaine dernière où un problème de communication annule un TD certain, Lloyd et Brady ne sont une nouvelle fois pas apparus sur la même page. L’ancien receveur de St Louis termine avec 60 yards en 8 réceptions et a alterné le bon (un superbe catch le long de la ligne en maintenant superbement ses pieds sur le terrain pour 9 yards dans le quatrième quart) et le beaucoup moins bon (un horrible drop sur le play suivant).

Plus surprenant encore est l’usage qui a été fait de Lloyd durant ce match. Signé durant l’intersaison pour combler le vide laissé par Randy Moss et fournir enfin une menace sur l’extérieur, l’essentiel de ses réceptions furent pour de petits gains sur des routes en slant ou en post. Curieux, comme l’ensemble du play calling durant ce match.


[*] Questionable play calling :

C’est pour moi le gros point noir de la rencontre. Les décisions prises par le coaching staff de New England peuvent au mieux être considérées comme discutables. Si l’on exclu le dernier drive qui a lui seul est un condensé de bêtises, le play calling fut moisi durant l’ensemble de l’après-midi.

Le seul drive à peu près réussi de la journée fut justement le dernier, celui qui aboutit sur le TD nullifié de Woodhead pour un hold de Gronk que l’on qualifiera lui aussi de discutable et sur le field goal Billy Cundiff-esque de Gostkowski. Ce fut également le seul joué en no-huddle, la marque de fabrique de New England depuis des années. Je comprends qu’il est parfois important d’installer un jeu de course, surtout lorsque l’on est en face d’un front seven de la qualité de celui d’Arizona. Mais pourquoi avoir attendu si longtemps ?

De manière plus générale, l’ensemble des décisions prises furent incroyablement conservatrices. Dans un match à domicile. Against the Arizona freakin’ Cardinals. J’ai notamment en tête un run horrible de Woodhead sur un 3&20 qui fut reçu par les sifflets mérités de Gilette. Yikes.

Et il faut que Mc Daniels arrête d’appeler 25 screen pass par match. That Ridley guy is good, but he’s no Kevin Faulk.

Closing words :

Il n’est pas encore temps de tirer la sonnette d’alarme. Surtout après de nombreuses saisons régulières brillantes se terminant prématurément en janvier. Autant évacuer les performances anémiques en week 2. Ce match fut encore plus mauvais que les précédentes défaites similaires, à Buffalo l’an dernier ou à Cleveland il y a deux ans. Et il y a toujours ce sentiment que quand les Patriots doivent perdre un match, ils doivent le faire autrement que le reste de la ligue. Incapables de juste « manquer » leur match et de se prendre une rouste comme tout le monde. Il faut que ce soit douloureux, après un match au bout du suspense durant lequel, malgré un performance atroce, ils restent dans le match jusqu’au bout.

Le match de dimanche vaut déjà très cher. Une défaite et le diagnostic sera certainement plus sévère.

See you next week, hopefully with a smile on my face.



SUNDAY, PURPLE SUNDAY

C’est parti pour la première fournée du « Purple Sunday », chronique hautement subjective sur le match du week end des Ravens de Baltimore, qui essaiera de revenir régulièrement en fonction de mon emploi du temps (eh oui, chroniqueur sur The Inc. ça paye pas…)
Pour ce qui est du format, rien de bien novateur, puisque le changement c’est pas pour tout de suite apparemment, on restera donc sur un classique mais efficace « Positives / Negatives », suivi d’un coup de gueule perso sur ce qui m’a déplu (ou plu ça dépend) pour finaliser tout ça…
Sooo here we go braves gens !!

Tout d’abord quelques stats pour illustrer ce match : 35 min de possession pour 486 yards et 26 first downs pour les Eagles contre 25 min pour 325 yards et 17 first downs pour les Ravens, n’en jetez plus la coupe est pleine. Dans ces conditions, difficile de remporter un match de football, surtout quand un troisième facteur vient mettre son grain de sel la dedans, mais j’en reparlerai plus bas.
Mis à part ça, as usual avec les Ravens : un premier match ou ils s’amusent à démonter un rival de division suivi d’un deuxième match tout pourri ou l’équipe prend l’eau de partout et repart avec des doutes plein la tête (et leurs fans avec par la même occasion). Tiens donc ça me rappel quelque chose… A croire que cette équipe est frappée du sceau de l’inconstance, triste pour des joueurs comme Lewis ou Reed qui vivent là leur probable dernière saison dans la ligue.

Positives :

  • Special team : 56 (record de franchise égalé), 51 et 48 yards pour leur jeune kicker Tucker, c’est du tout bon, au moins lui saura mettre le cuir entre les poteaux contre New-England… Sam Koch (Punter) et sa jambe droite de feu avec ses 50 yards de moyenne par punt, et un joli retour de kickoff de Thomson pour 50 yards.

  • Ray Rice : Encore une fois la meilleure arme offensive de Baltimore, 152 yards en cumulé, 99 yards au sol en seulement 16 portés (soit 6.2 yards / porté). Oui oui vous avez bien lu : 16 portés. Assez impensable avec un joueur de son talent, surtout quand vous avez un déblayeur comme Leach en FB et un G comme Yanda capable d’ouvrir des gaps aussi gros que le cul de J-Lo… M’enfin…

  • La ligne offensive a fait son job, s’est évertuée à donner du temps à Flacco et à le protéger du féroce pass-rush des Eagles, mais surtout a été énorme dans l’ouverture de brèche pour Little Ray. Rassurant.

  • La 1ère mi-temps de Joe Flacco, parce que mine de rien tout n’est pas à jeter dans sa performance. Sur les premières 30min, c’était le Flacco du week 1, calme et sur dans la poche, dirigeant sa no-huddle offense avec brio et prenant les bonnes décisions comme cette merveille de passe qui envoie Jones au TD (au passage Asomugha semble avoir laissé son talent du côté d’Oakland). Mais ça c’était seulement sur 30min…
Negatives :


  • La deuxième mi-temps de Flacco : Je sais pas ce mec doit être bi-polaire, avec cette capacité folle de changer de comportement en 10min… Sur les 30 dernières minutes c’était le Flacco de 2011, imprécis, cherchant le big play à chaque snap ou presque, envoyant une passe WTF à Pitta qui est en triple couverture. Résultat : Pick bien entendue. Série offensive des Ravens en 3ème QT : Interception, punt, punt et punt… ‘Nuff said !
Au final : 22/42 230 Yards 1TD/1int pour 66.8 de rating… Elite QB qu’il disait...Yeah !!



  • Mais Joe n’est pas le seul à blâmer dans la gabegie offensive de la 2ème MT, et dans le rôle d’Averell (vous savez le grand tout idiot), je vous présente Cam Cameron, OC spécialiste du play à la con sur les 3èmes et 4èmes tentatives, et responsable de l’arrêt de la no-huddle en seconde mi-temps… Pitre.

  • La défense tout entière est à blâmer. Bien sur 4 turnovers ont été créés mais c’est plus par le talent pur de gars comme Reed ou Lewis, que par le bon fonctionnement de la défense. Je reste persuadé que Pees (DC) n’est pas l’homme de la situation et qu’il a sorti un plan de jeu tout moisi contre les Eagles, n’envoyant pas assez de blitz sur Vick, lui laissant tout le temps de trouver un receveur libre… Le résultat : 486 yards dans les gencives… Ouch !!


The « Coup de gueule » of the week :

Il y a pas à dire, les remplaçants ça vaut pas les titulaires. Ben pour les Refs c’est pareil.

Voici trois décisions qui ont retenu mon attention (toutes contre mes Ravens bien entendu) :

  • La 1ère : Milieu de 4ème QT, Flacco lance sur Torrey Smith en endzone, qui préalablement s'est défait du marquage man-to-man d’Asomugha. Ce dernier se voyant dépassé, trouve le moyen d’agripper le jersey de Smith, mouchoir jaune, « Illegal contact ». Sauf que mon bon monsieur, lorsque la balle est en l’air lors d’un « illegal contact », ça donne une « Pass interference ». Cette dernière étant commis en endzone, c’est balle sur les 1 yard des Eagles. Et bien non rien de tout ça.



  • La 2ème : 3 minutes à jouer dans le dernier QT, balle aux Ravens. Flacco lance profond sur Jones couvert par Asomugha (encore lui, dans tous les bons coups…). He made the catch, TD Baltimore pour donner 10 points d’avance. Sauf que un mouchoir jaune tombe d’on ne sait où, « Offensive pass interference »… Mais bien sur… Résultat : Field Goal de 48 yards.

  • Enfin la 3ème : 1min30 à jouer dans le dernier QT toujours, balle sur les 3 yards de Baltimore. Vick joue la play-action, se fait prendre par Ngata, essaye de pousser le cuir, fumble recouvert par les Ravens, game-over… Sauf que le jeu est revue, la possession retournée pour « incomplete forward pass ». Child please… La suite on la connait, TD de Vick pour sceller la victoire des Eagles. (Verchain's Note : le jugement sur cette action, et la fameuse tuck rule, a été bien appliqué, selon ce que j'ai vu, le bras de Vick fait bien le mouvement vers l'avant... Mais bon, quand on est fan, je comprends que ça perturbe...)

Au final 3 décisions litigieuses qui aurait probablement changé le cours du match.
Voilà c’est tout pour aujourd’hui, à la semaine prochaine.


NEXT WEEK (ON TV)

Dès jeudi, les premiers adversaires des Buccaneers pourront se départager lorsque les Giants se rendront à Charlotte pour défier les Panthers.

Dans les matchs de 19h de dimanche, je ne manquerai pas New Jersey Jets à Miami… Sinon, il y aura Bengals at Redskins et Jaguars at Colts, eh oui… Sinon, vous pouvez aussi ouvrir le gaz…

Dans les matchs d’après 22h, les Eagles se rendent à Phoenix affronter les Cardinals, et les Texans prennent de la hauteur du côté de Denver.

Le Sunday Night Football sera un gros match qui mettra aux prises deux équipes qui ne veulent pas connaître un début de saison à 1-2, les Patriots à Baltimore.

Le Monday Night Football nous offrira Modern Football (Green Bay) versus Old Fart Football (Seattle).


CHEERLEADERS













C'est tout pour aujourd'hui, alors...



1 commentaire:

  1. Les capsules ESPN sur le rubiskcub (?) c'est le mal ! On en viendrait presque à demander de la pub.

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